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En 1890, en Amérique , il était de bon ton pour les jeunes filles fortunées , de partir en Angleterre , y dénicher un noble mari .Ce dernier apportait le prestige du titre et la jeune fille apportait sa richesse qui servait bien souvent à réparer les châteaux insalubres et poursuivre un certain train de vie . Aussi , il est parfaitement naturel que Cora Cash, la jeune fille la plus riche des USA fasse le voyage , d'autant plus que sa mère est d'une ambition sans borne . Que sa fille s'inscrive dans une lignée de sang bleu, est son ultime ambition . Cora, elle , espère trouver dans ce mariage, une liberté qu'elle ne connaît pas aux cotés de sa mère .
Et comme , elle est très jolie , très bien éduquée , pleine de répartie , et surtout pleine aux as, ce sera chose faite au bout de quelques semaines, elle sera fiancée au Duc de Wareham . Un mariage suivra à New-York puis retour au château, et adaptation à ce nouveau statut, et à ces nouvelles règles .
Et l'on suivra Cora dans ses tribulations et tâtonnements ... et ils sont nombreux à attendre qu'elle trébuche .

Ce qui aurait pu n'être qu'une romance historique " cul-cul la praline ", s'avère être une délicieuse fresque romantique, pétillante et rythmée .
L'héroïne est attachante.
Et puis, tout est dans les détails ...
L'auteur très documentée , parsème son récit d'informations sur la domesticité , décrit une toilette .... On sent qu'elle s'est amusée à comparer le point de vue des américains pragmatiques et un peu "nouveaux riches" , face aux traditions , aux codes sociaux , à ce qu'on ne dit pas , à l'étiquette ... la collusion entre le nouveau monde et l'ancien . C'est le bon dosage entre anecdotes historiques et l'intrigue .
Je crois que c'est la première fois que je lis une romance historique , j'y suis venue par le biais des réécritures de l'oeuvre de Jane Austen , j'ai été heureusement surprise par ce roman , d'autant que le titre et la couverture sont d'un kitch !
[ Le titre original est moins ringard : "Les héritières américaines " et fait référence aux citations qui ponctuent ce roman extraites d' "Américaines anoblies , Liste de dames américaines ayant épousé des étrangers de haut-rang, 1890." ]
Pour une fois, ce qui est mentionné sur la couverture ne ment pas : "délicieux", très fin ," un divertissement de qualité"...
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N'ayant pas reçu les livres commandés, je suis comme la cigale, fort dépourvue. J'ai eu recours à la boîte à livres du quartier et me suis rabattue sur ce roman , bluette ( terme inadéquat, car ce livre est volumineux : 596 pages) qui raconte les péripéties d'une héritière américaine immensément riche qui épouse un duc ruiné . Un titre ronflant contre la fortune...
Lecture passe temps, qui au final, n'est pas tout à fait dénuée d'intérêt : on y retrouve les us et coutumes d'une aristocratie anglaise à l'ère victorienne.
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XIXéme siècle, Cora est une jeune américaine qui a tout pour elle, surtout la richesse et que sa mère cherche à marier avec un aristocrate anglais. Histoire d'avoir un titre, seule chose qui manque à leur famille. Cora et sa mère partent donc en Angleterre et la jeune fille, lors d'une partie de chasse, tombe de cheval. Elle est recueillie par un duc anglais dont le château semble avoir besoin de réparations. Quel chance de tomber sur Cora hein ! Mais dés le début on sent une drôle d'atmosphère et une retenue de la part du duc...
J'ai vraiment aimé ce roman, malgré quelques longueurs. Il y a un peu des romans de Daphné du Maurier: on sent une tension, on devine pourquoi et on a envie de voir comment l'héroïne va réagir. du coup il y a un peu de suspens sur le devenir du couple, d'autant qu'on voit tout venir mais pas Cora ! La fin est moins attendue, ce qui est pas plus mal. Les différences entre les américains et les anglais sont au coeur du récit, ce qui est intéressant. J'ai passé un bon moment avec ce petit pavé !
Challenge coeur d'artichaud
Pioche dans ma PAL juillet 2023
Challenge pavés 2023
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Etats-Unis, 1894, Cora Cash est une jeune fille belle et bien éduquée et surtout une (immensément) riche héritière. La seule chose qui lui manque est un titre de noblesse. Cela lui importe peu mais sa mère, qui ne vit que pour les apparences et qui a une ambition sans limite, l'envoie en Angleterre afin qu'elle épouse un aristocrate anglais, comme cela se faisait alors pour bon nombres de jeunes américaines fortunées.
Cora, peu enchantée par ce procédé, y voit néanmoins un moyen de se libérer de l'emprise de sa mère. Lors d'une partie de chasse, elle fait la connaissance du duc de Wareham et tombe sous son charme (un peu trop rapidement si vous voulez mon avis :-) ). S'ensuit rapidement un somptueux mariage. Cora essaie de s'habituer à son nouveau statut de duchesse mais sa belle-mère, la duchesse Fanny, qui refuse de se laisser éclipser et les zones d'ombre dans le passé de son mari Ivo font qu'elle peine à trouver sa place dans cette société très codifiée qui ne pardonne pas facilement le moindre faux pas.
Cette romance historique est très agréable à lire, l'auteure a le souci du détail (surtout concernant les toilettes des dames) et s'est bien documentée sur les traditions et les codes sociaux de l'époque. L'intrigue reste toutefois très classique. (on devine assez vite ce que cache le duc) et la fin aurait méritée d'être plus développée.
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Les romances en général ne sont de ce que je préfère, trop convenus, trop fades, tout sucré à l'eau de rose navrant. Mais parfois il y a quelques-uns qui parviennent à sortir du lot et de m'entraîner dans leur lecture et ce fut le cas avec ce roman de Daisy Goodwin, à coloration historique.
Cora Cash est l'héritière de la plus riche famille américaine que connait les Etats-Unis à la fin du XIXeme siècle. Tout le monde l'envie pour sa richesse bien sûr mais aussi pour sa beauté, sa délicatesse, ses bonnes manières mais aussi par sa langue parfois piquante qui vient souvent contraster avec son apparente candeur. Cependant, sa mère écervelée et dévorée d'ambition vise plus haut pour sa fille : un titre de noblesse tout simplement, chose impossible à se procurer dans la terre de l'Oncle Sam. Sauf dans la contrée au delà-de l'océan, celle de la bonne reine Victoria... et c'est ainsi que la jeune fille est envoyée en bateau avec sa fidèle servante Bertha et intègre malgré elle la haute société anglaise d'où très vite elle détonne, apparaissant comme sauvage et excentrique pour les lords et lady british. Toutefois elle parvient à trouver chaussure à son pied, en la personne du mystérieux Ivo dont elle compte bien épouser et devenir ainsi duchesse. Mais les obstacles seront nombreux entre une belle-mère acariâtre au possible, une rivale rouée, un prétendant bien déterminé à la récupérer et les conventions bien strictes des moeurs victoriennes...
Malgré sa couverture toute distinguée, il ne faut pas s'y fier aux apparences, le roman est loin d'être une simple romance à la Harlequin mais davantage un récit historique où s'il y a bien une histoire d'amour principale, les éléments autour tel que la société britannique et ses us et coutumes tout comme celle américaine importent beaucoup. L'autrice s'inspire surtout d'un fait historique avéré, celle des jeunes héritières de famille américaine qu'on balançait en Angleterre pour qu'elles chassent les jeunes nobles anglais et acquérir ainsi un titre juteux de noblesse. Mais elle va plus loin que ça. Car le parcours bien turbulent Cora Cash illustre la confrontation bien acide entre deux mondes, qui bien que versé dans la même moule luxueuse, est drastiquement différente, entre les moeurs américains plus libres et moins policé et les moeurs anglais régit par la bienséance et une étiquette plus rigide. Dans les deux cas cependant, elle ont chacune une forte hypocrisie que l'auteure égratine bien : ainsi le personnage de Bertha, servante à la peau colorée se trouve bien mieux respectée et estimée en son rang parmi les dandy que parmi les yankee racistes de la 'démocratie' du Nouveau Monde, s'y fondant mieux dans la vie pourtant bien corsetée et sévère des gentilhommes et mesdames anglaises. Et bien entendu toujours la mauvaise foi des victoriens qui cachent leurs vices derrière une élégante façade et ne se privent pas aux basses exactions. Manigances et manipulations sont courant, donnant un ton grinçant qu'heureusement l'amitié parfois tumultueuse entre Bertha et Cora où l'inclination tendre entre Ivo et Cora adoucit sans toutefois atténuer l'acidité. Les amateurs de Dowton Abbey pourront apprécier l'ouvrage qui contient de bonnes descriptions des sociétés huppés des pays anglo-saxon avec grand force de détail bien fouillis tout comme l'amusement des dialogues innocents en première allure mais qui sont souvent bien venimeux.
Quant aux personnages, ils se révèlent bien plus riches que j'y pensais. Cora Cash qui au départ agace par son coté pourri gâtée se révèle plus attachante, ayant un coeur d'or qu'elle dissimule pour éviter de paraître faible et tentant de ne pas être étouffée sous le poids des conventions. Bertha qui est pour moi la plus intrigante marquée par sa couleur de peau n'est pas une simple domestique fidèle mais une femme qui voit l'Ancien monde comme paradoxalement plus respectueux envers les gens de sa condition que chez elle mais qui perçoit bien les pièges et autres vipère, plus perspicace que sa pauvre maîtresse qui fait souvent preuve de naïveté. Ivo n'est pas qu'un brun ténébreux sans âme mais un être fort marqué par les travers de ses parents et voulant y échapper et sa mère une chipie insupportable mais qui a une certaine sagesse aux manières victoriennes qu'elle tente d'inculquer, à la dure, à son éventuelle belle-fille.
Même la partie romance échappe aux clichés et ce malgré quelques scènes convenues comme une balade romantique prés de la prairie où une visite galante dans un château gothique, entre Ivo et Cora il y a une vraie alchimie et des tensions, mais aussi des doutes et des défauts qu'aucun des deux n'arrive à contenir .
En revanche, si l'écriture de Goodwin est d'une fraîcheur inestimable avec sa délicatesse, elle n'est pas exceptionnelle et par moment est d'une langueur... sans compter que certaines réactions des personnages peut énerver, dont celle de Cora qui parait souvent stupide dans ses provocations.
En conclusion une surprenant romance historique à lire par intérêt et surtout apprécier les coutumes des sociétés nobles du Vieux et Ancien Monde dans leur vivacité.
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Cora Cash est une jeune américaine aussi belle que riche, aussi gâtée qu'en manque d'affection. Sa mère, qui ne vit que pour le luxe et les relations, l'envoie en Angleterre pour lui fournir ce que l'argent ne peut acheter, un titre. Bien entendu le fait que Cora soit la plus riche héritière au monde ne semble pas être une façon d'acheter un titre en attirant un coureur de dot, aussi lorsque le Duc de Wareham la demande en mariage, il ne fait aucun doute aux yeux de la jeune fille qu'il s'agit d'un mariage d'amour. Alors que leur histoire s'engage sous les meilleurs hospices, Cora se retrouve bientôt au coeur de la société aristocratique anglaise en proie aux rumeurs qui viennent entâcher sa réputation et semer la doute dans l'esprit d'Ivo, son jeune époux. Elle se retrouve bientôt isolée de tous dans son domaine où elle peine à trouver sa place…

Il n'est pas facile d'écrire une critique sur ce roman qui m'a été assez pénible à lire sur plus de la moitié. La raison principale étant l'étalage massif des richesses de Cora et de sa famille, la surabondance de biens et le besoin presque compulsif de posséder la robe de l'Impératrice ceci ou la dentelle de la Reine cela. le sommum étant atteint lors de la description du trousseau de mariage de la jeune femme allant du nombre de paires de gants à la couleur de ses ombrelles en passant par la qualité de ses dessous sans oublier les bijoux incrustés dans ses déshabillés… autant de descriptions futiles qui allourdissent le récit déjà assez costaud. Pourtant, une fois que Cora se retrouve seule, quasi abandonnée, le ton change et les émotions dépeintes sont d'une telle justesse que je me suis sentie gagnée par l'affection pour cette jeune femme qui cache sa fragilité sous des falbalas et pierres précieuses.

Daisy Goodwin signe une romance historique où l'on retrouve tous les codes du genre: complots, trahisons, intrigues, amour, passion et personnages auréolés de mystères, mais où l'originalité tient dans la confrontation entre deux mondes que tout oppose: l'Angleterre et ses titres ronflants où les apparences font fie du reste et le Nouveau monde et ses modernités. Cora lutte et dénonce les incohérences de la bonne société, tentant d'apporter de la fraîcheur à des traditions surannées. Par ailleurs, sa position dans la société et son éducation font d'elle une jeune femme sûre d'elle qui n'a pas peur d'affirmer ses idées et de dire tout haut ce qu'elle pense, ne se laissant pas marcher sur les pieds par les douairières qui veulent tout régencer. Cora n'est pas qu'une jolie femme élégante, elle est aussi intelligente et philantrope. Son intégrité n'a pourtant d'égale que sa naïveté qui la place souvent en position de faiblesse, l'achevant à coups de rumeurs et de coups bas portés avec autant de soin que de hargne par des concitoyennes qui placent leurs pions avec l'aisance de la dissimulation.

L'auteur entoure son héroïne de personnages très intéressants, loin des banales personnages secondaires, qu'ils soient de sa classe sociale ou ses inférieurs. Ivo, duc de Wareham, est sans doute le plus mystérieux de tous, il est d'une ambiguïté déconcertante et place le lecteur en position d'incertitude quand à ses intentions. Pourtant il est attachant et donne envie de croire en lui; même si dès le départ, une part de son secret était assez évidente, l'impatience d'en découvrir l'intégralité a été le moteur permettant d'aller au bout de cette lecture.

En conclusion, La Dernière Duchesse est une romance historique originale qui tire sa force dans la confrontation de deux mondes opposés. L'écriture est souvent lourde mais le récit est porté par la force de sa jeune héroïne et ses personnages mystérieux qui font de ce roman une lecture mitigée mais intéressante.
Lien : https://sirthisandladythat.w..
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Cora Cash a tout pour elle: jeune, belle riche, intelligente. Sa mère, très ambitieuse, désire qu'elle épouse un aristocrate anglais désargenté qui sera heureux de faire abstraction du fait qu'elle est américaine.
Cora rencontre Ivo, le duc de Wareham dans les bois (ça paraît glauque dit comme ça :p) et très rapidement fiançailles et mariage sont à l'ordre du jour. Mais Cora ne se doute pas que bien des épreuves l'attendent. Car son argent est le bienvenu mais pas ses origines, sa vivacité ou son franc parler. Sa belle-mère, les domestiques et même son mari n'auront de cesse de le lui rappeler.

Cora devra apprendre à naviguer dans un monde bourré de codes sociaux sous les regards malveillants de ceux qui espèrent la voir échouer. Heureusement, elle peut compter sur Bertha, sa femme de chambre qui se montre d'une loyauté à toute épreuve. Mais cette dernière vit aussi des difficultés dont sa maîtresse ne sait rien...

J'ai vraiment passé un bon moment. C'est bien écrit, bien documenté. On en apprend plus sur cette mode de la fin du XIXème siècle. Des aristocrates anglais titrés mais criblés de dettes qui se marient avec des jeunes femmes américaines pleines aux as. Mais leurs modes de vie sont tellement différents que les conflits ne sont pas loin. Ces jeunes femmes se montrent moins attachées à l'étiquette, moins conventionnelles, plus libres. Cela ne peut que choquer dans un monde où chaque cuillère a sa place et chaque domestique sa fonction propre (par exemple, le gars qui allume toutes les bougies :p). L'Amérique est le Nouveau Monde, la modernité comparé à ce vieux dinosaure qu'est l'Angleterre :p. Modernité, changements contre traditions et conventions.

J'ai aussi aimé le fait que nous suivions deux héroines. Cora mais aussi Bertha, sa femme de chambre. Sa vie est loin d'être facile entre les gens qui la jugent sur sa couleur de peau, sa loyauté envers Cora qui est sa seule famille et son amour pour Jim, le valet du duc.
Bertha se montre maternante envers Cora et ne peut la laisser seule quand elle est dans le besoin. Pourtant elles ne sont pas amies. Cora l'apprécie mais ne se soucie jamais de ce que ressent Bertha. Tout tourne autour d'elle.
Cora est certes un peu capricieuse, un peu égocentrique, un peu naïve mais elle est touchante. Elle veut bien faire, ne pas montrer qu'elle est parfois perdue et fort seule.
Son mari, Ivo, m'a souvent énervé. Il ne lui raconte pas son passé, se montre distant, ... S'il avait fait preuve de plus de franchise dès le départ, beaucoup de souffrances auraient été évitées...

En conclusion un très bon roman grâce à l'intrigue, les personnages et le contexte historique bien développé.



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Un « roman rouge » sérieux et honnête ; c'est la description qui me vient à l'esprit spontanément pour ce livre.

Cora Cash est une jeune américaine fortunée qui rêve de romance et d'amour. Sa mère, Mme Cash, ne rêve que d'une chose : un titre pour sa fille. Pour cela, elle est prête à tout, même à expatrier sa fille en Europe afin qu'elle trouve un homme titré. Or, c'est bien connu, les riches américaines peuvent rarement se marier par amour – elles sont choisies pour leur fortune. Cora ne veut pas de cela. Un long chemin, semé d'embûches, l'attend.

L'écriture est fluide et agréable. Un roman accrocheur, qui se lit assez rapidement et qui prend le sujet au sérieux.

Seul point négatif, à mes yeux : l'inconstance du personnage principal. Cora ne cesse de changer de personnalité. Cela ne donne pas l'occasion au lecteur de vraiment s'attacher à elle.
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une lecture agréable, j'ai beaucoup aimé me retrouver en 1890.
Cora est une jeune femme qui a tout pour elle, belle, immensément riche, un brin capricieuse, légèrement naïve mais extrêmement touchante.
Ivo Wareham, lui est le jeune duc de Maltavers, un homme mystérieux qu'on découvre doucement aux fils des pages.
Une histoire prenante qui décrit avec élégance le monde de la haute société Anglaise, qui abordé beaucoup de thèmes comme l'amour, la trahison, la passion mais aussi les différences.
La plume de l'auteure est fluide, agréable. On découvre une véritable recherche, de l'auteure, dans les codes de l'aristocratie anglaise de cette époque.
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j ai adorée ce livre je vous le recommande un très bon livre
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