« quelque part derrière ces arbres
et ces autres arbres
derrière ces infinis rideaux d’arbres
autour desquels nous marchons
l’amour importe
c’est parce que l’amour importe
qu’il y a ces arbres et ces autres arbres
c’est parce qu’il y a
cette infinité d’arbres
autour desquels nous cheminons
Il y a l’image de ces arbres
autour desquels nous décrivons cercle après cercle
et c’est là que se trouve l’amour
invisible
caché par cette immense forêt » …
Output de Hans Jorgen Nielsen .
Qu’est-ce que le temps ? dis-je en secouant la tête face à ma question.
Dans l’univers de Pan, la lumière est éternelle.
À ce moment-là, j’avais déjà quitté la montagne et cessé de creuser des tranchées à coups de pioche. J’étais redescendu à Oslo, cette ville « que personne ne quitte avant qu’elle lui ait imprimé sa marque » comme l’écrit Knut Hamsun dans un autre de ses livres, La Faim.
"La poésie, c'est une pièce dans laquelle on pénètre et d'où on ne ressort jamais"
L’amour est tragique s’il n’est pas réciproque. Vous attendez qu’il naisse chez l’autre et ça ne vient pas. Vous frappez à sa porte et il n’est pas là. Vous lui téléphonez et il ne répond pas.