Franck, Michel, Igor et les autres n'iront plus au Balto, il est définitivement fermé, mais partent en quête de ce dont on peut rêver entre vingt et trente ans — de l'amour, d'un idéal politique (fut-il marxiste) — ou tentent d'échapper aux conséquences sur leur vie de conflits et d'enjeux qui les dépassent. Des chemins qui n'aboutissent pas toujours là où ils voulaient, mais qui sont riches d'enseignement pour qui sait comme eux rebondir et s'engager dans un idéal digne de ce nom.
L'Israël des kibboutz comme l'Algérie décolonisée sont
les terres promises de ces incorrigibles optimistes que presque sans jamais lasser (il est parfois un peu long) et d'une plume fluide
Michel Guenassia, douze ans après le formidab
le Club des incorrigibles optimistes, remet en scène en prise avec leur époque. Une façon de parler des années 60 et de leur contexte social, économique et géopolitique aussi vivante qu'attrayante.
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