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Critique de 5Arabella
Le dernier volume de la trilogie d'Arn le Templier nous ramène dans le Nord. le personnage principal, après avoir accompli ses vingt ans de pénitence chez les Templiers, revient dans sa patrie, riche et amenant avec lui des artisans orientaux au savoirs faire multiples. Il retrouve sa bien aimée Cecilia et leur fils, et s'installe pour une nouvelle vie. Son savoir faire militaire et diplomatique le mettront aux premières loges pour assister à la naissance de la Suède en tant que nation.
J'ai été très déçue par ce troisième volume, dans lequel je n'ai pas retrouvé l'efficacité narrative des deux premiers tomes. Il se passe certes beaucoup de choses, mais tout cela était un peu confus pour moi, peut-être par méconnaissance de l'histoire suédoise du XIIe siècle. On passe très rapidement d'un personnage à un autre, d'une situation à une autre, sans véritable suspens. Les personnages sont beaucoup moins fouillés et cohérents que dans les tomes précédents, et j'ai trouvé les parties consacrées à la construction des bâtiments, au stockage de nourriture, à l'entraînement militaire etc longues.
J'ai eu la sensation que Jan Guillou a voulu embrasser trop de choses dans son livre, trop d'événements, trop de personnages, ce qui provoque des incohérences et des approximations. Dommage, parce que les deux premiers volumes étaient très réussis dans leur genre de roman historique d'action.
J'ai été très déçue par ce troisième volume, dans lequel je n'ai pas retrouvé l'efficacité narrative des deux premiers tomes. Il se passe certes beaucoup de choses, mais tout cela était un peu confus pour moi, peut-être par méconnaissance de l'histoire suédoise du XIIe siècle. On passe très rapidement d'un personnage à un autre, d'une situation à une autre, sans véritable suspens. Les personnages sont beaucoup moins fouillés et cohérents que dans les tomes précédents, et j'ai trouvé les parties consacrées à la construction des bâtiments, au stockage de nourriture, à l'entraînement militaire etc longues.
J'ai eu la sensation que Jan Guillou a voulu embrasser trop de choses dans son livre, trop d'événements, trop de personnages, ce qui provoque des incohérences et des approximations. Dommage, parce que les deux premiers volumes étaient très réussis dans leur genre de roman historique d'action.
