Je crois que la vérité essentielle, dit-il lentement, c'est que nous tous — les médecins, l'hôpital, la technique médicale — n’existons que pour une grande chose : pour les patients, pour la guérison des malades. Je crois qu’il nous arrive parfois de l’oublier. Je crois que nous nous laissons absorber par la médecine, par la science, par de meilleurs hôpitaux, et que nous oublions que tout cela n'a qu’une raison d’être : les gens, la guérison des gens. Les gens qui ont besoin de nous.
Ce que le pathologiste peut, généralement parlant, c’est apporter quelque modeste contribution à la connaissance médicale — quelque chose qui se trouve à la portée de sa main, dans son temps, mais cela, du moins, il doit le faire.
Ce monde est un monde d'hommes jeunes. Je suppose qu’il en a toujours été ainsi. Excepté que, parfois, les vieux ont le pouvoir...
Tout sera diagnostic, et rien que diagnostic. La médecine utilisera les forces de la nature même. Notre santé mentale aura prouvé qu’elle est la racine et la base des maux organiques.
Il vaut mieux connaître une vérité entière que simplement une partie.
Comme quiconque de naturellement brillant, il avait été tout d’abord considéré avec quelque suspicion par ses condisciples. Puis, parce qu’il ne prenait pas la peine de voiler sa certitude de supériorité mentale, la suspicion était devenue antipathie, l’antipathie était devenue haine.
La médecine n’a qu’un seul problème véritable. Il a toujours été le même. Il sera toujours le même. C’est le problème de la survivance humaine individuelle. Et survivre est la plus vieille loi de la nature.
Pendant des années, l'équilibre normal de la nature a maintenu les populations dans une favorable, stabilité. Quand la médecine s'en est mêlée et que le taux des naissances est devenu trop élevé, la famine est intervenue.
Chaque jour de délai, quand une opération est nécessaire, est un danger accru pour le patient.
Certains hommes se faisaient au changement, à la promotion d’hommes plus jeunes qui les surclassaient et prenaient le commandement.