L'orpheline de Foundling

Mon humble ressenti post-lecture: L'orpheline de Foundling de Stacey Halls: une lecture agréable sans être un coup de coeur

L'aventure se passe dans le Londres du 18e siècle. Une petite vendeuse de crevettes se voit contrainte de déposer son bébé à l'Hopital des Enfants Trouvés, mais le jour où elle souhaite la récupérer elle s'aperçoit qu'une autre femme a usurpé son identité et a déjà emmené sa fille. Commence alors sa quête pour retrouver son enfant.

Un roman agréable à lire sans être un coup de coeur.

J'avais déjà beaucoup aimé les deux autres livres de cette autrice donc quand j'ai vu que ce dernier faisait partie de la sélection littérature étrangère je ne vous cache pas ma hâte à lire ce livre ! 🤣

Nous rencontrons Bess devant un orphelinat, avec son bébé. Elle ne peut le garder et se retrouve contrainte à devoir l'abandonner à l'orphelinat Foundling. Là, elle se fait une promesse : récupérer son bébé dès qu'elle le pourra. Six ans plus tard, déterminée elle y retourne mais va apprendre que son enfant a déjà été récupéré par quelqu'un qui a pris son identité. de là va s'enchaîner un parcours du combattant pour Bess...

Me retrouver au 18e siècle aux côtés de Bess a été une chouette expérience. C'est une jeune fille sympathique qui ne se laisse pas marcher dessus et qui veut avoir des réponses à ses questions quand tout le monde lui dit d'abandonner. J'ai beaucoup aimé sa force de caractère.

Je trouve que l'intrigue est incroyable et l'autrice arrive à nous transporter tout le long grâce à une plume fluide et captivante du début à la fin malgré les quelques petites longueurs qui par moment gâchaient un peu la lecture car trop de descriptions que je ne trouvais pas forcément utiles et quelques situations mal mises en scène qui nous donnait trop facilement les réponses à nos questions. Ce roman traite de thématiques variées telles que la relation parents-enfants, la condition féminine de l'époque et notamment le fait d'arriver à faire face au passé pour pouvoir arriver à surmonter le présent. Car Bess va faire des rencontres qui vont non bouleverser sa vie mais également sa perception des choses. C'est une mère meurtrie qui va tout faire pour retrouver sa fille.

Tous les personnages sont bien construits et jouent un rôle bien spécifique à l'intrigue et j'apprécie cela. Je me suis complètement laissée transporter dans le Londres du 18e siècle, dans ses ruelles et manoirs à la recherche de la fille de Bess.
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Londres 1754, Bess rencontre Daniel qui la met enceinte puis disparaît de sa vie. Pauvre ,après avoir accouchée, elle va porter son enfant à l'orphelinat de l'hôpital Founding avec promesse de retourner la chercher. 6 ans plus tard, elle s'y présente mais son enfant est disparue. Une femme se faisant passer pour elle l'a adoptée. Elle part donc à la recherche de sa Clara et la trouve chez l'épouse de Daniel ,décédé entre temps. Elle s'y fait engager comme nourrice pour Charlotte. Mais réussira-t-elle à récupérer sa fille ? Un roman historique très bien écrit auquel je donne 7/10 car il manque parfois de profondeur.

Autant j'avais vraiment adoré "les sorcières de pendle" de la même autrice, autant celui-ci je reste mitigée.
J'ai aimé la trame de l'histoire, l'alternance de points de vue, le fait que l'autrice comme à son habitude reprenne des faits passés*, mais j'avoue que l'intrigue était prévisible. J'ai trouvé qu'il y avait certaines longueurs également.
Ça reste une histoire intéressante mais malheureusement la magie n'a pas opéré cette fois-ci.

* Effectivement l'hôpital de Foundling à réellement existé, il a été fondé en 1739 par Thomas Coram. C'est un hôpital qui recueillait les bébés de parents qui ne pouvaient malheureusement les garder avec eux.

J'avais découvert Stacey Halls l'an dernier avec Les Sorcières de Pendle, qui m'avait beaucoup plu et donné envie de lire ses autres romans. C'est chose faite avec L'Orpheline de Foundling, que j'ai tout autant apprécié, voire même plus car l'intrigue m'a semblé avoir moins d'incohérences que Les Sorcières de Pendle.

L'histoire de L'Orpheline de Foundling est assez classique dans le sens où c'est une histoire que j'ai déjà eu l'impression de lire et que certains évènements sont assez prévisibles, mais on prend quand même beaucoup de plaisir à la découvrir : on plonge dans les bas-fonds du Londres victorien et dans les beaux quartiers, on découvre l'univers des orphelinats... L'intrigue contient un certain suspense, on s'attache assez facilement aux personnages et à leur histoire, on a envie de savoir ce qu'il va leur arriver et comment tout cela va se terminer, du coup on ne voit pas les pages défiler.
Il y a aussi deux beaux portraits de femmes via les personnages de Bess et d'Alexandra. Cette dernière notamment est assez complexe car, à première vue, elle n'a pas le beau rôle mais petit à petit on découvre son histoire et on se rend compte qu'il est plus compliqué de la juger. Bess est plutôt admirable dans sa "positivité", la vie n'est pas tendre avec elle mais elle ne s'apitoie jamais et tente de s'en sortir par tous les moyens.
Les dernières pages recèlent un happy end peut-être un peu trop joyeux pour être parfaitement crédible mais cela ne gâche pas trop le plaisir qu'on prend à lire L'Orpheline de Foundling. Pour ma part, cela m'a donné envie de continuer à lire les romans de Stacey Halls !!

Deux destins se mêlent, deux femmes que tout opposent et qui pourtant vont se trouver liées.
Bess Bright et Alexandra Callard.

L'histoire se déroule au 18e siècle, on se rend compte des difficultés de cette époque, notamment d'être une mère célibataire.
La plume de l'auteure nous permet une immersion totale. Les personnages sont intriguants, on doute et on espère avec eux.

Séduite par la couverture et le résumé, j'ai été transportée dans l'histoire de Bess qui cherche à retrouver sa fille, coûte que coûte.
Bess est une femme persévérante malgré ses epreuves de vie, sa famille et ses difficultés financière, elle pousse à l'admiration.
Alexandra qui peut paraître froide, voir antipathique de prime abord nous attendrit finalement, car elle révèle un vécu avec plusieurs drames, ce qui enleve nos premiers jugements.

Ce roman illustre formidablement bien que rien n'est tout blanc ou noir, mais beaucoup plus nuancé dans la vie.

Découverte de l'autrice via ce roman, qui est une bonne entrée en matière. le roman est agréable à lire malgré quelques longueurs, parfois, et des événements prévisibles. Des personnages attachants, d'autres antipathiques ou que l'on apprend à connaître et dont les blessures secrètes nous font changer d'avis. le dénouement est - presque - sans surprise.

Un roman roman de l'autrice, Les sorcières de Pendle, est déjà dans ma PaL.

Lorsque Bess a mis au monde son enfant, elle n'a pas eu d'autre choix que de le confier à l'orphelinat de l'hôpital Foundling.

6 ans plus tard, en 1754, Bess est décidée à récupérer sa fille Clara. Mais quand elle revient à l'orphelinat on lui annonce que sa fille n'est plus là. Ce qui est surprenant c'est que les papiers affirment que c'est elle-même qui est venue chercher sa fille… Bess est bien décidée à retrouver son enfant et par la même occasion la personne qui le lui a volé !

Au même moment, non de loin de là, Alexandra vit recluse dans sa grande demeure avec sa fille et ses domestiques. Effrayée par les autres elle refuse de sortir et prive sa fille du grand air. Lorsque son ami médecin lui suggère d'embaucher une nurse pour s'occuper de sa fille elle accepte malgré sa méfiance maladive.

Mais a-t-elle eu raison de laisser une étrangère entrer dans sa maison ?

Deuxième lecture dans le cadre du Grand Prix des lecteurs catégorie littérature étrangère. Celle-ci m'a beaucoup plus séduite que la première.
L'auteur nous propose une narration alternée. Alors que certains chapitres sont centrés sur Bess, d'autres s'intéressent à la vie d'Alexandra.
Ce roman historique met en lumière le rôle de mère, qu'on le choisisse, qu'on y renonce ou qu'on le devienne malgré soi.
Ce livre c'est aussi la rencontre entre deux milieux sociaux opposés.
En résumé, une belle histoire qui montre de quoi une mère est capable de faire pour son enfant.

La fin du livre nous apprend que l'on peut aujourd'hui visiter un musée dédié à cet orphelinat. Une idée de visite lors d'une prochaine escale londonienne.
Lien : https://orlaneandbooks.wordp..

Une chouette lecture dans l'ensemble, très prenante.
Cependant, j'ai pour ma part senti une nette différence entre la première et la seconde moitié du livre.
En effet, même au si au départ j'ai ressenti beaucoup de peine pour la protagoniste, je l'ai trouvée assez égoïste au final (même si d'une certaine manière son acte peut être compréhensible) et j'ai surtout trouvé la fin très peu réaliste.
J'ai néanmoins apprécié ma lecture.

Une excellente lecture.
J'avais beaucoup aimé les sorcières de Pendle, j'ai à nouveau adoré ce roman de Stacey Halls.
Un livre qui m'a déjà séduite par sa superbe couverture automnale!
Nous sommes à Londres en 1754 (et vous savez que j'adore cette période), nous allons suivre l'histoire de Bess qui a du abandonner sa fille à la naissance, lui promettant de venir la chercher dès que sa situation lui permettrait. 6 ans plus tard, lorsque Bess retourne à l'orphelinat, sa fille a déjà été récupérée par une femme qui s'était fait passer pour elle. Pourquoi et comment? Stacey Halls nous plonge dans ce roman en nous faisant suivre en alternance Bess et Alexandra (la "mère" actue
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