La mort nous prive de la joie, car la vie est la joie.Chaque moment que nous vivons est un instant de plaisir et de bonheur.
Quand on vit à la rue, le monstre qui git en nous devient plus féroce et il n’est pas impossible que Najma soit victime d’un viol ou d’une agression .
Nous avons tous un jardin secret et il nous incombe de l’entretenir. Il faut y planter des jolies fleurs, et en enlever les mauvaises en permanence. Il faut travailler sa terre avec constance et l’arroser avec amour pour que les bons sentiments y prolifèrent.
Trop de malheur mène au désespoir
Les corps naissent et disparaissent, seules les âmes survivent à notre court passage dans la vie. La plus misérable des âmes est celle qui quitte son corps sans que personne ne l’accueille. Elle erre, vagabonde puis elle disparaît dans l’oubli. L’âme de Nadir a échappé à cette misère grâce à ton dévouement et
ton amitié.
L’être humain se drogue facilement, il suffit de se laisser aller. La dérive devient une évidence, bien justifiée, et on s’en fonce davantage jour après jour.
On passe notre vie à parler une langue qu’on ne maitrise pas assez. On se fait des avis, on aime, on haït et on tue avec des mots qu’on manie avec maladresse. Comme si on mangeait de la soupe avec un couteau et qu’on s’étonnait que cela fasse mal.
C’est le pays de tout homme qui croit en la beauté. Tu sais, nous avons une devise pour la république que je n’ai jamais comprise avant de te rencontrer : liberté, égalité, fraternité. Des mots qui résonnaient bien dans ma tête, mais qui ne voulaient rien dire.
Quand on enfonce un couteau dans le dos pour tuer sans motif réel, on peut violer ou retenter de porter des coups mortels sans état d’âme.
Quand un chien enragé commence à aboyer, cela présage une attaque imminente. Et ne pas prendre au sérieux cette menace est irresponsable.