J'avais beaucoup apprécié "
L'ile des oubliés", un peu moins "
La ville orpheline" et pas du tout "Cartes postales
De Grèce".
Et j'ai retrouvé avec "
Cette nuit-là" l'amour inébranlable de
Victoria Hislop pour ce pays merveilleux qu'est la Grèce et son peuple, à tel point que nos prochaines vacances devraient se dérouler du côté de Spinalonga.
Le chagrin et la détresse de Manolis sont si bien rendus par son "zeibekiko" (page 109 et suivantes).
Tous les personnages sonnent juste ...
Efkaristo poli, Kyria Victoria !
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