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Critique de Alfaric


L'arc consacré aux réfugiés de la République d'Emaria ne tient pas vraiment ses promesses : Takuya et Atsuko crèchent chez City Hunter (refrain connu), d'où une longue suite de gags mokkori (refrain connu) en attendant que la guerre civile se termine où à défaut que les G-Men du gouvernement dirigés par la caricature d'Arnold Schwarzenegger daignent enfin montrer le bout de leur nez pour les choses enfin animer… Ryo a une mauvais influence sur Takuya, Kaori et Atsuko se liguent pour rééduquer leurs hommes : ouais, bof… Ne restent donc les twists de fin pour relever le niveau !
Dans le récit suivant, le mangaka se rappelle à sa série précédente "Cat's Eye" donc tout le monde se retrouve en justaucorps : la cliente voleuse, Kaori et Ryo… En gros Ryo et Kaori déguisés en lycéens doivent aider une voleuse lycéenne à mystifier un richard illuminé qui se passionne pour les pouvoirs psychiques et son sbire nain et bossu qui semblent sortir tous les deux d'un film d'horreur de la Hammer ! (Ryo aime les jeunes femmes non les jeunes filles, mais il flash encore sur une mineure : serait-il un lolicon, fétichisme élevé au rang d'industrie par le Weekly Shonen Jump ?) Aucune action et que des gags pas spécialement inspirés, genre Quasimodo qui a le coup de foudre pour Kaori… de loin l'un des moins bons et moins intéressant récits de la série, et il n'y a guère que l'émotion de l'épilogue qui mérite la peine d'être mentionné .
La mission du City Hunter qui s'ensuit relève carrément du baby sitting, puisqu'il est engagé par un papa poule pété de thunes pour protéger sa fille Yuki qui ne sait rien de la vie, à commencer par la faire démissionner de de son emploi dans un fast-food mal famé fréquenté par toute la racaille du quartier. Et si Ryo Saeba tombe sous le charme et l'enthousiasme de la jeune fille, il est aussi décontenancé par l'extrême naïveté de l'héritière de noble famille Minagawa...
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