Accompagnant sa fiancée dans un sanatorium où elle mourra, la narrateur nous fait partager le bonheur qui est le sien, et sans doute partagé, dans ces circonstances où les fiancés témoignent de leur attachement mutuel.
Avec cette belle élégie funèbre et poétique à la fois
Tatsuo Hori ne nous montre pas le travail d'élaboration et de ciselage de sa prose, mais nous fait simplement partager la simplicité et la délicatesse qui en résulte.
Un écrivain très europhile à découvrir.
Parution en 1936, Traduction
Daniel Struve