Un récit court de
Victor Hugo, grand humaniste et militant -en avance sur son temps en plein 19é siècle- de l'abolition de la peine de mort, et même si c'était possible de l'abolition de la misère humaine! Outre la menace de la guillotine, les «voleurs de pomme » -comme aurait dit G. Brassens- étaient véritablement victimes de peines dramatiques et disproportionnées et envoyés des années en prison pour un oui ou pour un non… Et quelles prisons sordides et sadiques comme le dénonça un siècle plus tard la grande
Simone Veil. Un seul remède a tout cela pour Hugo: l'instruction, l'éducation et la connaissance… Vénérons nos écoles et nos enseignants, nos livres et nos écrivains, et tous ceux qui distillent la lumière du savoir, de la réflexion et de la compréhension du monde.
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