Un texte quasiment inédit, ou du moins méconnu (paru dans d'anciennes anthologies).
Victor Hugo, en visite à son ami Arago alors directeur de l'Observatoire, regarde la Lune à travers un téléscope. Il assiste au lever de Soleil sur la Lune et au dévoilement de plusieurs monts, dont le Promontoire du songe.
Cela lui inspira un texte sur le pouvoir créateur de l'artiste, la force et la nécessité de l'imagination.
Je ne sais pas si c'est le thème ou la forme (proches de ceux de
la Bénédiction inattendue de
Yoko Ogawa) ou le style, mais je n'ai pas réussi à le terminer. Pourtant il est court (moins de100 pages) mais je l'ai trouvé très pompeux. Je n'ai pas eu ce problème avec
Les Misérables ou les
poèmes que j'ai pu lire de lui.
Je le regrette mais... il m'est tombé des mains.
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