Que de répétitions, que de répétitions ! La lecture en devient lassante.
Ajoutez à cela la difficulté des noms islandais...
Et je dois avouer que si j'ai persévéré au-delà des 50 pages fatidiques, c'est bien parce que j'étais en vacances et que j'avais épuisé mon stock de livres. J'étais en état de manque.
Vous l'aurez compris, je n'ai pas aimé, à vite oublier et passer à autre chose.
Ouf, j'ai retrouvé ma PAL !
Commenter  J’apprécie         220