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Critique de Didili


Voici mon deuxième opus de cette série si connue et reconnue de l'écrivain Arnaldur Indridason et de son commissaire, le très célèbre Erlendur Sveinsson.

Ma première découverte se fît avec " La femme en vert ". Ma lecture remonte déjà à mars 2010 : Lisez plutôt mon billet ICI et j'avais apprécié beaucoup cette histoire.

Lors du dernier QDP 2016, j'ai eu la chance de croiser Arnaldur Indridason et de me faire Didicacer "La voix". La table de cet auteur était bien garnie, il faut dire que Erlendur à du succès auprès des lecteurs.

J'ai opté pour un des premiers car j'aime quand il y a des personnages récurrents avancer à leur rythme dans les différentes enquêtes et dans leur histoire personnelle.

Très vite dans ma lecture j'ai refait connaissance avec Erlendur et son équipe rapprochée : à savoir Sigurdur Oli et Elimborg.

J'avais gardé pendant tout ce temps (6 ans quand même) l'image de cet homme au lourd passé. Ce passé qui façonne Erlendur en policier tenace et efficace, à la vie quelque peu désenchantée...

Dans cette enquête au coeur de la période de Noël, Erlendur se retrouve presque seul dans cet hôtel où à lieu un étrange meurtre, celui du Père-Noël.

Enfin je veux dire celui du portier de l'Hôtel puisque celui-ci s'était déguisé pour distribuer des cadeaux aux enfants des clients de l'hôtel.

L'homme est mort dans une bien fâcheuse posture et dans un cagibi dans lequel il vivait.

Cette enquête nous mène avec toute l'équipe sur les traces d'un enfant choriste, un enfant star à la voix sublime.

Ce sera alors l'occasion de plonger dans le passé de cet homme qui fût un enfant adulé, de faire la connaissance de sa famille, du moins ce qu'il en reste.

On vit à l'intérieur de l'hôtel où la façade grand luxe recèle bien des secrets et chaque personnels et clients sont potentiellement les auteurs du crime.

Il y a aussi, le monde des collectionneurs qui spéculent sur des produits rares comme le sont les quelques disques enregistrés par Gudlaugur lors de sa gloire si éphémère...

Comme dans "La femme en vert" Indridason nous dresse grâce à cette enquête le portrait de son commissaire. Chercher dans l'histoire familiale de la victime va faire remonter chez Erlendur cette lourde culpabilité vis à vis de son frère disparu dans une tempête alors qu'il étais enfant.

En tant que père, Erlendur est aussi bousculer et essaye d'être là (enfin) pour sa fille Eva Lind qui a bien des tracas ...

J'ai donc suivi avec plaisir cette enquêtes et toujours apprécié l'écriture de l'auteur (même si parfois on a quelques répétitions dans les situations).

Je connais de plus en plus Erlendur et j'ai très envie de poursuivre encore plus avant sa connaissance.

Une histoire où le passé s'imprime indubitablement sur le présent. Très souvent pour le pire.

Il me reste encore pas mal de livres ! J'essayerais de réduire le temps entre deux lectures de cet auteur.

Quant à vous, laissez vous conter l'histoire
du destin de cette voix si belle et si fragile.
Accompagnés du commissaire Erlendur.

Bonne lecture !
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Lien : http://imagimots.blogspot.fr..
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