après
Shirobamba qui m'avait beaucoup impressionné dans ma jeunesse, je n'étais pas allé plus loin dans les récits de jeunesse d'
Inoué. Ce n'est qu'aujourd'hui, après avoir relu Shirobamaba que je me suis lancé dans
Kosaku.
Une fois encore,
Inoué fait preuve d'un grand talent de plume. il démontre des capacités à travailler sur els sentiments et la nostalgie qui sont assez rares chez un auteur japonais. Il y a chez lui un côté
Pagnol japonais au travers de ses récits d'enfance et ce dernier roman se rapproche du temps des amours avec la découverte des sentiments que suscite jeune le jeune
Kosaku l'arrivée d'une petite fille dans le village.
La vie à la campagne auprès de celle qui joue auprès de lui le rôle de grand mère costitue cependant le centre de cette fresque que l'on prend grand plaisir à lire. au fur et à mesure,
Kosaku grandit, le temps passe et le temps des deuils se rapproche, imprimant encore plus une dimension nostalgique au récit.
Un grand roman sur l'enfance.
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