Nous retrouvons ici Bérenger (Tueur sans gage et
Rhinocéros) ainsi que sa petite cours. Ses deux reines et son médecin le disent :
le roi se meurt. Pièce absurde par excellence que je n'avais étudié qu'en extrait au lycée qui montre métaphysiquement la difficulté de l'acceptation de la mort par un roi décrépit qui n'a pas vu sa longue vie passer soulignant l'absurdité de la vie.
Ce n'est que la seconde pièce de
Ionesco que je lis. Je me suis moins laissé porter que sur
les Chaises, publiée dix ans plus tôt, qui évoquait déjà cette thématique de l'arrivée de la mort et de l'absurdité du langage ici aussi présent.
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