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Critique de mathildewm
A l'approche de la sortie de Mort sur le Nil au cinéma, j'ai été prise d'une frénésie de lecture pour la reine du suspense et tout ce qui pouvait se rapprocher de près ou de loin : Mort sur le Nil, bien sûr. La mort n'est pas une fin, évidemment. Les carnets de voyage Agatha Christie lors des fouilles de Mallowan, indubitablement.
Et, par le plus grand des hasards, le dernier crime d'Agatha Christie de Christopher Carter.
Un égyptologue nouvellement nommé est assassiné. Au Caire. Dans la suite Agatha Christie de l'Old Cataract Hotel. Alors que plusieurs égyptologues plus ou moins véreux, plus ou moins contents de le voir arriver, sont réunis sur la terrasse de ce même hôtel... coïncidence ? sûrement pas ! Lorsqu'une lettre anonyme lance Lord Percival Kilvanock sur les traces du tueur, le superintendant Dodson n'a plus qu'à s'accrocher (aux bords de son chapeau s'il ne trouve rien d'autre), parce que les suspects sont légions : la question n'est donc pas de savoir qui avait un motif mais qui est passé à l'acte...
Des brumes écossaises montant autour d'un château hanté à Assouan en passant par Scotland Yard, l'hommage de Carter à Christie est superbe ! L'enquête pour meurtre est parfaite, la galerie de personnages incroyablement bien campés ajoute un charme certain, qui n'est surpassé que par l'évocation géniale des hauts lieux de l'Égypte antique, de l'île Elephantine à celle de Philae et de Tell el-Amarna (la capitale éphémère d'Akhenaton) à Assouan : une véritable plongée au coeur non de l'Égypte, mais des égyptologues 😉).
bref, une lecture géniale, à lire ou à relire de toute urgence !!!
Et, par le plus grand des hasards, le dernier crime d'Agatha Christie de Christopher Carter.
Un égyptologue nouvellement nommé est assassiné. Au Caire. Dans la suite Agatha Christie de l'Old Cataract Hotel. Alors que plusieurs égyptologues plus ou moins véreux, plus ou moins contents de le voir arriver, sont réunis sur la terrasse de ce même hôtel... coïncidence ? sûrement pas ! Lorsqu'une lettre anonyme lance Lord Percival Kilvanock sur les traces du tueur, le superintendant Dodson n'a plus qu'à s'accrocher (aux bords de son chapeau s'il ne trouve rien d'autre), parce que les suspects sont légions : la question n'est donc pas de savoir qui avait un motif mais qui est passé à l'acte...
Des brumes écossaises montant autour d'un château hanté à Assouan en passant par Scotland Yard, l'hommage de Carter à Christie est superbe ! L'enquête pour meurtre est parfaite, la galerie de personnages incroyablement bien campés ajoute un charme certain, qui n'est surpassé que par l'évocation géniale des hauts lieux de l'Égypte antique, de l'île Elephantine à celle de Philae et de Tell el-Amarna (la capitale éphémère d'Akhenaton) à Assouan : une véritable plongée au coeur non de l'Égypte, mais des égyptologues 😉).
bref, une lecture géniale, à lire ou à relire de toute urgence !!!
