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Critique de rotsenamrub
Moi qui me prétendait hermétique aux nouvelles, me voici charmé par les facéties de Soren Jessen.
Je sais, je me répète, ma fille n'arrête pas de me le répéter (elle aussi donc! tel est pris qui tatati tatata).
J'annonce donc solennellement ici que je renonce définitivement à cette facilité pour introduire mes prochaines chroniques de nouvelles.
C'était d'ailleurs d'autant plus ballot que ce "Café Zambèze" n'est en aucun cas un recueil de nouvelles. Un démarrage ambigu m'en avait donné l'impression assez vite éludée au fil des chapitres.
Un régal d'humour et d'étrangeté, entre Yôko Ogawa et Jean-Paul Dubois.
C'est un peu court Rotsen entends-je la foule s'émouvoir.
L'effet anesthésiant des latitudes tropicales serait-il effectif ?
C'est possible mais je pencherai plutôt pour un sentiment de découragement devant le retard accumulé et la fiabilité de ma mémoire corrosive et fragmentée.
Mais lisez déjà celui-ci.
Je sais, je me répète, ma fille n'arrête pas de me le répéter (elle aussi donc! tel est pris qui tatati tatata).
J'annonce donc solennellement ici que je renonce définitivement à cette facilité pour introduire mes prochaines chroniques de nouvelles.
C'était d'ailleurs d'autant plus ballot que ce "Café Zambèze" n'est en aucun cas un recueil de nouvelles. Un démarrage ambigu m'en avait donné l'impression assez vite éludée au fil des chapitres.
Un régal d'humour et d'étrangeté, entre Yôko Ogawa et Jean-Paul Dubois.
C'est un peu court Rotsen entends-je la foule s'émouvoir.
L'effet anesthésiant des latitudes tropicales serait-il effectif ?
C'est possible mais je pencherai plutôt pour un sentiment de découragement devant le retard accumulé et la fiabilité de ma mémoire corrosive et fragmentée.
Mais lisez déjà celui-ci.
