Il pensait à tout le stress qui imprégnait les citadins de toutes les villes. Si l'on pouvait extirper ce stress, comme d'un organe malade, la masse de déchets ainsi obtenue serait telle que le monde approcherait de sa fin. Si l'on pouvait, en revanche, s'en servir de combustible pour produire de l'énergie, c'en serait fini des crises parolières. Ha ! Et les pays occidentaux deviendraient du jour au lendemain les détenteurs de toutes les réserves d'énergies.