J'ai perdu Gloria comme on perd un diamant, avec le regret de l'unique et du précieux. Avec la leçon qu'on ne vit pas que de richesse aussi, qu'il faudra toujours plus d'eau que de talismans pour survivre. J'ai aimé Gloria.
Bien qu’étant vivant, les jeux et l’alcool restaient pour lui les accessoires indispensables d’une vraie carrière dans la littérature, au moins autant que les livres eux-mêmes, ainsi que quelques bons costumes, une paire de santiags, noire, faut-il le préciser, et le goût du risque au volant.