Tout ou rien, tome 2 : L'obsession de Knight

- Mais bizarre de belle façon. J'aime que tu sois plus fort que moi,plus gros, plus grand, tout en muscles et avec ce charme magique.
Il l'entoura de ses bras.

Katherine représentait tout ce qui était bon dans sa vie. Pourtant, leur rencontre avait constitué un tel hasard du destin, comme gagner à la loterie, qu’il s’inquiétait que le vieil adage — la seule certitude à propos de la chance, c’est qu’elle changera — puisse être vrai.

Elle se pencha ,prit son visage dans ses mains et l'embrassa parce qu'il était ridiculement beau et qu'elle ne pouvait y résister.

- Le fait que je fasse n'importe quoi comprend celui de me réveiller avec toi, de te voir au petit déjeuner, de savoir que tu es près de moi pendant le jour, de te serrer contre moi le soir.

Puis, il coloration sa vision romantique en teintes pastel parfaites quand il murmura:

- Tu es la seule personne que je veuille toujours voir; le matin,
le soir, et toutes les heures entre les deux.

Tout ce que je sais, c'est que je suis heureux quand je suis avec toi et malheureux comme la pierres quand je ne le suis pas. Ça devrait sûrement vouloir dire quelque chose.

Le désir brut dans sa voix était comme une drogue pour un toxicomane, l'élixir qui pénétrait ses sens et lui donnais l'impression qu'à cet instant le monde était parfait.

Ils voulaient tous des câlins, y compris les garçons qui essayaient de paraître adultes.

Il se tenait debout, complètement immobile, son regard faussement indolent tandis qu’il faisait des yeux le tour de la salle — un lion dominant contemplant son royaume.
Tous les yeux s’étaient tournés vers lui — sur la puissance évidente derrière la pose nonchalante, le gonflement des muscles sous les vêtements élégants, l’extraordinaire beauté, la tranquille confiance en soi. Les femmes étaient fascinées, les hommes, envieux.

Même si elle savait que c’était incroyablement stupide de pleurer sa relation avec quelqu’un comme Dominic Knight qui pouvait avoir n’importe quelle femme qu’il voulait et le faisait probablement. Cet appel, c’était peut-être le destin qui lui disait qu’il était temps d’oublier un salaud éhonté, sans cœur, malheureusement trop séduisant et sexuellement talentueux. À classer sous la rubrique extrêmement sexy, mais non disponible. Les femmes lui passaient à travers les mains à vitesse grand V.