Aïe aïe aïe, j'ai mal à mon
Tite-Live. L'auteur admet lui-même dans sa postface qu'il a "cette fois-ci un peu trop déformé la réalité".
De fait, ce tome, qui commence avec la deuxième bataille de Nola en 215 av. J.-C., fait une ellipse de trois ans sans transition aucune pour se consacrer ensuite au siège de Syracuse en 212 av. J.-C., est une belle invention romanesque qui dérive vers le récit d'aventure et qui s'éloigne du récit historique.
C'est palpitant et ça se lit tout seul, mais il ne faut surtout pas le prendre pour argent comptant !
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