Quand je lis un texte ou des nouvelles de
Laura Kasischke, j'entends toujours l'angoissante partition de "Musique pour cordes, percussion et celesta" de
Bela BARTOK, comme des ongles longs sur un tableau noir. Cette femme a le don comme mon auteur préféré, JC OATES de faire basculer l'ordinaire dans une quatrième dimension, un univers parallèle situé juste à côté de vous.
Toutes les nouvelles rassemblées dans ce recueil me font me sentir comme un chat dont on caresserait un coup la fourrure dans le bon sens, un coup dans le mauvais sens et c'est terriblement efficace. Magnifique !
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