Le dernier homme bon

Des hommes et des femmes « de bien » (médecins, militants des droits de l'homme,…) meurent étrangement à travers le monde, de curieuses marques de brûlures étant observées dans leur dos. Deux flics, l'un à Venise, l'autre à Copenhague, tentent de démêler l'intrigue…

Tout cela était bien prometteur. Mais après un début plutôt captivant, le rythme faiblit, et l'histoire ne tient au final pas toutes ses promesses. La fin est notamment gâchée à mon sens par le fait que trop de questions demeurent sans réponse.

Sur fond du fameux sommet environnemental de Copenhague, en 2009,
cette intrigue , basée sur un méli-mélo mathématico-ésotérique , est somme toute peu convaincante , avec notamment un dénouement des plus nébuleux . Les premiers chapitres restent néanmoins bien construits et plutôt accrocheurs.

Ce n'est pas le type de roman dont je suis fan, et je dois même dire que s'il ne m'avait pas été offert avec deux autres poches, je ne l'aurai pas acheté. L'histoire est un peu grandiloquente, une enquête sur le décès d'hommes justes choisis pas Dieu pour faire le bien, avec l'inscription d'un tatouage dans le dos. Les personnages sont quelconques et le roman est très long (700 pages). le côté ésotérique du roman a fini de me perdre. Quelques passages intéressants mais c'est selon moi insuffisant, pour susciter l'intérêt pour ce genre de livre. C'est une roman qui ne m'a franchement pas emballé, et que j'ai lu sans aucune émotion.

Je n'ai pas accroché du tout à ce pseudo polar. J'avais beaucoup aimé l'idée : 36 hommes bons qui "sauvent" l'humanité et qui sont retrouvés morts peu à peu. Mais j'ai trouvé la lecture longue mais longue. Je n'arrête jamais un livre au milieu (sauf 1 fois) car j'espère toujours un déclic. Là, jusqu'à la fin, j'ai espéré une envolée et rien. Vraiment déçue.

Ésotérique avec un vernis scientifique et historique, meilleur que Da Vinci code, ce suspense se laisse lire jusqu'au bout.

On ne peut vraiment pas dire que c'est mon coup de coeur de l'été ; j'ai mis beaucoup de temps à le terminer et j'avoue que quelquefois , j'ai lu entre les lignes.
Il me semble que l'auteur aurait pu faire plus court sans que l'intrigue n'en patisse.
A travers le monde , des hommes "bons " meurent dans d'étranges circonstances et on retrouve sur leur dos des brulures .
Deux policiers enquêtent , chacun de leur côté : un à Copenhague , l'autre à Venise ; ils finissent par mettre leur conclusion en commun et comprendre que sur 36 justes dans le monde , 34 ont déjà disparu.
Où se trouvent les 2 survivants et comment les protéger ?

Derrière le pseudonyme A. J. Kazinski se cachent deux danois, Anders Rønnow Klarlund et Jacob Weinreich. Déjà ca commence par une feinte…
Un livre ou il est question d'hommes bons. D'emblé cela intrigue. Il s'agit des 36 justes que Dieu envoya sur terre pour créer ordre et équilibre. Or il se trouve que ses 36 prêcheurs du bien disparaissent mystérieusement. Oui mystérieux est bien le mot car que ce soit au début ou à la fin du bouquin on se demande encore pourquoi eux, comment ils sont choisis, quelle est leur véritable mission et surtout par quels moyens il se retrouve tous assassinés. A trop vouloir en faire sur le coté ésotérique de la chose on s'y perd. La cerise sur le gâteau étant la Near Dead expérience d'Hannah à la fin du livre, pourquoi, qu'est ce que ca vient faire ici ? Je me suis complètement perdu à la lecture de ce bouquin. Lecture d'un livre que je termine toujours par principe mais la j'ai franchement du m'accrocher. le premiers tiers du bouquin est accrocheur, Niels le négociateur nous invite à tourner les pages et nous prend par la main, pour finalement nous lâcher dans un gouffre. Livre prétentieux.
Le plus du bouquin se trouve dans l'élaboration des personnages. Niels et Hannah sont bien construits et leur relation fonctionne bien.

Je n'ai pas du dépasser les 50 pages, tant je ne suis pas parvenu à m'accrocher à l'histoire. Je trouve que le début manque de cohérence, ça va dans trop de direction à la fois, je m'y suis perdu...

Des crimes répartis un peu partout dans le monde attirent l'attention d'un policier vénitien puis d'un finlandais . le policier vénitien découvre le point commun entre ces hommes et ces femmes : ils sont des bienfaiteurs de l'humanité . Une astrophysicenne finlandaise parvient à découvrir la logique interne de ces meurtres. Très difficile d'entrer dans ce roman tant on cherche à comprendre réellement l'intrigue .. Je suis passée à côté