J'ai bien aimé ce roman, mais pas autant que la première partie,
Il faut laisser les cactus dans le placard.
J'ai eu plaisir à retrouver l'écriture douce et poétique de
Françoise Kerymer, mais l'histoire m'a paru moins captivante et des pans entiers de l'intrigue ont donné l'impression de n'être qu'effleurés. C'est sûrement dû à la multiplication des narrateurs qui sont dispersés aux quatre coins du monde (avec la Bretagne au centre, comme le dit très justement un des personnages).
Seuls les poissons parle de la famille au sens large du terme, mais c'est aussi une belle réflexion sur la solitude, qu'elle soit choisie (pour échapper aux soucis ou trouver l'inspiration) ou subie (suite à une rupture, un deuil...).
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