Son deuxième roman écrit à 25 ans en 1920.
Je l'avais choisi sans conviction, juste pour
Kessel.
Dès le début, la magie de l'écriture m'a emporté. Chaque mot est ciselé, bien en place. chaque adjectif dit plus qu'une phrase entière.
Un pur bonheur de lecture.
François Mauriac disait de lui :
"il aura gagné l'univers sans avoir perdu son âme."
Nous ajouterons qu'Il a aussi touché le coeur des lecteurs.
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