Après avoir beaucoup apprécié le premier tome des
Diabolic, j'aborde donc cette suite, pour retrouver Némésis et Titus, qui doivent à présent prendre le trône d'empereur de la Galaxie. Mais être dans une telle position attise les convoitises et les complots pour tuer ou discréditer Némésis sont incessants. Les alliances se font et se défont, les manoeuvres politiques sont incessantes et les rebondissements nombreux, voire trop nombreux. L'ambiance de ce space opéra est parfaitement rendue et la critique de la religion (le Vif Cosmos) et de ceux qui la font respecter comme source de pouvoir est intéressante.
J'avoue que lors de la lecture, lorsque nous assistons à un ènième rebondissement, cela m'a semblé presque trop. Mais j'ai eu plaisir à retrouver Némésis, une
Diabolic souvent bien plus humaine que les grandiloguents de la cour
Y aura-t-il un troisième volet ? La fin de ce tome laisse supposer que oui
Les
Diabolics, ces créatures issues d'une manipulation génétique, plus fortes, plus rapides et plus impitoyables que n'importe quel être au monde, ont été décimées.
Mais trois
Diabolics sont encore vivants.
Deux sont gardés en isolement total, enchainés à vie.
Le troisième s'apprête à prendre le pouvoir.
Depuis la mort de sa maîtresse, Némésis n'a plus aucune limite.
Mais avant de devenir la future impératrice de la galaxie, Némésis doit réussir à obtenir le statut d'être humain.
Et pour cela, elle est prête à tout.
Quitte à donner sa vie.
Quitte à en prendre d'autres.