Une jolie petite histoire, plus nostalgique et métaphorique qu'horrifique : à travers les histoires fantasques de la mère de Rhett et cette étrange boîte à biscuits, ce sont les horreurs de la guerre qui nous sont racontées, et la touche de fantastique distillée par
Stephen King n'est finalement pas plus horrible que la réalité de notre monde. Là où habituellement dans ses romans, le surnaturel apporte terreur et
désolation, ici il ne parvient pas à surpasser l'horreur déjà présente dans le monde réel.
J'aurais tout de même aimé en savoir plus sur ce que voyait la mère de Rhett, mais je n'en dirais pas plus : c'est une courte nouvelle, il faut lui laisser un peu de mystère. 😉
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