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Critique de beldrak
Et nous voici au 5ème tome de la tour sombre alors que le ka-tet arrive dans un village menacé d'enlèvements d'enfants réguliers ( toutes les vingtaines d'années ).
La première chose qui saute aux yeux dans ce tome c'est le changement de tournure de l'histoire. On sent que le rythme s'accélère et que l'histoire se resserre alors qu'il reste 2 tomes dernières avant de finir.
Ici on a deux intrigues qui s'entrelacent : les loups de la Calla d'une part et le terrain à New York d'autre part. Deux intrigues, deux problèmes mais une seule volonté derrière : le roi cramoisi.
Si le début prend un peu son temps, on est vite propulsé dans l'histoire et après il n'y a plus de pause. J'ai apprécié la ville de la Calla qui m'a donné l'impression de revenir aux origines de la tour sombre alors que le Pistolero erre vers son objectif dans le désert. On revient aux origines et c'est plutôt un bien.
On notera que l'on n'apprend que peu de choses dans ce tome sur la véritable finalité mais que l'on se mets en chemin vers elle.
Je mettrais également un bémol sur la traduction, il y a des erreurs pas géniales : le joueur de flute d'Hamelin qui est appelé plusieurs fois Hameln, le film phantasm qui a été traduit fantasm et quelques tournures très malheureuses ... A l'époque de la sortie du livre Stephen King était un gros auteur, ça aurait du être mieux travaillé.
J'ai bien aimé l'entrelacement du réel et de la fiction dans ce tome. le vif d'argent de Harry Potter est bien pensé ( c'est de l'ironie mordante ) et l'inclusion de l'auteur dans son oeuvre est probablement le meilleur moyen de s'auto immortaliser.
Au final, un très bon roman et un très bon tome. Je doute qu'il soit aussi bon sans avoir lu ce qui le précède cela dit mais je recommande cette lecture.
La première chose qui saute aux yeux dans ce tome c'est le changement de tournure de l'histoire. On sent que le rythme s'accélère et que l'histoire se resserre alors qu'il reste 2 tomes dernières avant de finir.
Ici on a deux intrigues qui s'entrelacent : les loups de la Calla d'une part et le terrain à New York d'autre part. Deux intrigues, deux problèmes mais une seule volonté derrière : le roi cramoisi.
Si le début prend un peu son temps, on est vite propulsé dans l'histoire et après il n'y a plus de pause. J'ai apprécié la ville de la Calla qui m'a donné l'impression de revenir aux origines de la tour sombre alors que le Pistolero erre vers son objectif dans le désert. On revient aux origines et c'est plutôt un bien.
On notera que l'on n'apprend que peu de choses dans ce tome sur la véritable finalité mais que l'on se mets en chemin vers elle.
Je mettrais également un bémol sur la traduction, il y a des erreurs pas géniales : le joueur de flute d'Hamelin qui est appelé plusieurs fois Hameln, le film phantasm qui a été traduit fantasm et quelques tournures très malheureuses ... A l'époque de la sortie du livre Stephen King était un gros auteur, ça aurait du être mieux travaillé.
J'ai bien aimé l'entrelacement du réel et de la fiction dans ce tome. le vif d'argent de Harry Potter est bien pensé ( c'est de l'ironie mordante ) et l'inclusion de l'auteur dans son oeuvre est probablement le meilleur moyen de s'auto immortaliser.
Au final, un très bon roman et un très bon tome. Je doute qu'il soit aussi bon sans avoir lu ce qui le précède cela dit mais je recommande cette lecture.
