- Vous êtes un homme de science. Je suis sûr qu’il n’y a pas si longtemps, vous m’auriez juré qu’il était physiquement impossible à un mort de marcher. Et pourtant, ils marchent.
- Pas mal. Mais ce ne sont pas les morts-vivants qui me feront croire en Dieu.
Père Gabriel : Est-ce si dur de croire, frère Eugène ?
Eugène : Je pense que vous croyez n’importe quoi.
Père Gabriel : Vraiment ? Vous êtes un homme de science. Je suis sûr qu’il n’y a pas si longtemps. Vous m’auriez juré qu’il était physiquement impossible à un mort de marcher. Et pourtant, ils marchent.
Eugène : Pas mal. Mais ce ne sont pas les morts-vivants qui me feront croire en Dieu.
Ça me peine de le dire, mais c’est vous ou nous… Et pour moi, le choix est vite fait.
Abraham : On n’est pas seuls ici, même si ça ne se voit pas. (…) Ne criez pas… ça attirerait l’attention sur nous.
Andrea : DALE !!
Abraham : Pfff.
Rick : Les enculés. Ils vont se sentir bien cons quand ils vont comprendre.
Abraham : Comprendre quoi ?
Rick : Qu’ils ont pas joué avec les bonnes personnes.
"Qu'il ait eu conscience ou non de ses actes, il a bel et bien éventré l'autre petit. Il y a un problème. Un enfant ne fait pas ça. Sauf s'il n'est pas équilibré mentalement. Ce n'est pas compatible avec notre façon de vivre. Il peut craquer n'importe quand." # Rick à propos de Ben
- Est-ce si dur de croire, frère Eugène ?
- Je pense que vous croyez n’importe quoi
- Vraiment ? Vous êtes un homme de science. Je suis sûr qu’il n’y a pas si longtemps vous m’auriez juré qu’il était physiquement impossible à un mort de marcher. Et pourtant ils marchent.
- Pas mal. Mais ce ne sont pas les morts-vivants qui me feront croire en Dieu.
Le cycle éternel de la mort ne s'arrête jamais. Ça va trop vite. (p.132)
Chris : Ils doivent pisser dans leur froc à l'heure qu'il est.
Rick (qui surgit de nulle part) : Pas vraiment.
Chris : Nom de dieu !
Charlie : C'est l'un d'entre eux ! Je le reconnais !
Chris : J'avais pigé.
Greg : Ils sont tous amputés ou quoi ? J'en ai marre de manger des restes.
Je vais vous dire un truc. Vous savez... un ours, dans les bois... s'il ne trouve rien à manger, il mangera son petit pour survivre ! (p.111)