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Comme prévu, les choses se calment un peu dans ce volume. Nos héros se remettent plus ou moins bien, plus ou moins lentement de ce qui s'est passé lorsqu'ils se trouvaient à Woodbury et c'est un très bon moyen de developper la psychologie de chacun.

Un tome, lent, mou, mais pas inintéressant. le temps passe (je crois, qu'il s'écoule à peu près deux mois dans ce tome) et toute la fine équipe se prépare au cas où le gouverneur les trouverais.

On trouve un peu de guimauve avec Lori (la femme de Rick) qui accouche enfin de la petite Judy. Glenn et Maggie, le couple phare de la série, décident de se marier et franchement, ce n'est pas trop passionnant. C'est assez bateau, il n'y a rien de spécial dans ses scènes, elles servent juste à calmer l'intrigue et à unir les personnages, à leur accorder un peu de repos et de bonheur bien mérité.

Bon, je vous rassure, il y a quand même un peu de sanglant, avec une mort assez atroce et complètement folle et un nouvel infirme à la jambe coupée. Bah oui, ce n'est pas la petite maison dans la prairie non plus !

Bref, un très bon tome de transition, car les deux dernières pages nous annoncent le retour des choses sérieuses. le calme avant la tempête. J'espère que vous avez bien profité de ce tome tout en douceur, car après la lecture du tome 8, rien ne sera plus jamais comme avant.

Je ne sais pas vous, mais moi, j'ai hâte !
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" Si vis pacem, para bellum "
" Qui veut la paix prépare la guerre "

Album de transition par excellence.
Ici, l'on croisera deux trois zombies pour la déco histoire de ne pas oublier la menace qui plane constamment sur tous nos prisonniers volontaires.
Au programme, la recherche du stock d'armes de la garde nationale assorti des états d'âme de l'un de nos héros récurrents qui va toucher le fond de la piscine dans son p'tit pull marine. Ah oui, Lori, après 23 mois de grossesse soit 6 albums en temps BD, va enfin accoucher. Certains arrivent encore insouciants, d'autres nous quittent dans le chaos, ainsi va la vie à Zombieland.

S'il se lit toujours avec grand plaisir, ce 7e opus surprend peu.
Par contre, ce que je peux déjà vous affirmer, c'est que le suivant promet du feu de dieu ! Une dernière planche en guise de détonateur, chaud devant, ça va tâcher !
Et puis, pour un album acheté, un ticket de caisse toujours offert. Ce serait dommage de faire la fine bouche...
3.5/5
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Après deux tomes plutôt nerveux et forts en émotion, « Dans l'oeil du cyclone », septième album de la saga « Walking Dead », nous offre un court moment de répit. Et on en avait bien besoin! Que ce soit pour pousser enfin un petit soupir de soulagement pour les protagonistes qui en ont vu de bel ces deux derniers volumes, ou pour pleinement digérer toutes les implications du conflit qui oppose désormais Rick au Gouverneur. Alors que la confrontation entre le groupe de la prison et celui de Woodbury a, on a pu le constater, plutôt mal tourné des deux côtés, une trêve tacite s'installe entre les deux camps qui en profitent pour panser leurs plaies. Tous le savent, ce n'est toutefois plus qu'une question de temps avant que les deux groupes ne se rencontrent à nouveau et n'engagent les hostilités. Et cette fois, il ne pourra y avoir qu'un seul vainqueur... Ce septième tome se fait donc plus posé, plus introspectif alors que la prison se prépare fébrilement à subir à tout moment une attaque de grande ampleur.

Les relations entre les personnages sont encore une fois au coeur de cet album dans lequel se pose notamment la question de la nouvelle condition de Rick et de son statut au sein du groupe : sa place de leader doit-elle être à nouveau contestée ? Kirkman distille également au compte-gouttes quelques informations supplémentaires concernant les « rôdeurs » et la contamination ainsi que les moyens de l'éviter, mais finalement rien de très surprenant ou de complètement inattendu. Si l'action reste ici plutôt limitée du fait que les personnages jouissent enfin d'une relative sécurité, n'allez cependant pas croire que la tension se dissipe. C'est même tout le contraire puisqu'alors que les lecteurs comme les personnages en sont réduits à ne pouvoir qu'attendre, il est impossible de se départir du sentiment que quelque chose de terrible va advenir d'un moment à l'autre, et l'image choque qui clôture ce septième volume en est bien la preuve...

« Dans l'oeil du cyclone » n'est certes pas un album majeur de la série mais se lit tout aussi agréablement que les précédents et fait davantage office de préambule au huitième tome qui promet quant à lui autant d'action que de drame.
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Après deux tomes particulièrement éprouvants, les auteurs ralentissent un peu le rythme dans ce septième volume. Ils arrivent néanmoins à ne pas nous ennuyer, avec des pics de tensions tout au long de l'histoire qui tiennent en haleine le lecteur. Ainsi on alterne entre des moments calmes et d'autres plus mouvementés, comme l'accouchement et l'amputation express dans la même scène, ou un suicide particulièrement effrayant, ou encore le cliffhanger... C'est donc toujours le même schéma qui est utilisé pour ces tomes de "transitions", mais force est de constater qui ça marche à merveille et qu'on est toujours aussi avide de connaître la suite...
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Deux mois se sont passés depuis la fuite de Woodbury.
Les habitants de la prison se préparent à la naissance du bébé de Lori, imminente, et à une contre-attaque du Gouverneur !
Une expédition est menée pour trouver des vivres, voire des armes afin de résister à un assaut de la communauté de Woodbury ; des séances de tir sont organisées.

Malgré la menace qui pèse sur le groupe, la tension redescend, et ce tome apporte une bienheureuse bouffée d'oxygène. On voit les membres du groupe dans leur vie quotidienne : jardiner, jouer au basket, bavarder à bâtons rompus, se vanner, vivre tout simplement... ce sont ces scènes-là que je préfère, celles mettant l'accent sur la psychologie des personnages. On s'attache de plus en plus à eux (mais est-ce bien raisonnable ?!?). On a en outre la chance d'assister à une cérémonie de mariage, les mariés vêtus de leur plus beaux uniformes de prisonniers !!

Nous en oublierions presque que l'histoire s'inscrit toujours dans le cadre d'un monde post-apocalyptique, précaire et dangereux, or, ce monde sait se rappeler cruellement aux protagonistes et aux lecteurs : le groupe est attaqué lors de leur expédition, Carole commet un acte éminemment traumatisant lorsqu'elle confie ses états d'âme à sa nouvelle amie, Dale est mordu par un zombie (c'est d'ailleurs la 1ère fois que quelqu'un survit à la morsure d'un mort-vivant), Andrea, meilleure tireuse du groupe, néglige ses recommandations de prudence!

Finalement, à vivre trop longtemps à l'abri de la prison, les rescapés en ont oublié leur vulnérabilité et le danger alentour toujours présent :

”Cette foutue prison m'a coûté un pied. On s'est caché derrière le grillage trop longtemps... A voir dehors sans y être pour autant... Sans vivre à côté des rôdeurs... Et au bout d'un moment, tu oublies ce que c'est... Tu vois juste à quel point ils sont lents... Tu oublies combien ils sont dangereux... Et à quel point c'est facile pour l'un d'entre eux de t'avoir. J'avais complètement oublié comment c'était dehors. Ca a failli me tuer.
(Dale, page 93)

Les scènes de bonheur alternent donc avec les scènes d'horreur, et si l'action est moins présente, le lecteur n'en éprouve nul ennui, captivé par les événements, heureux ou malheureux, qui s'enchaînent. L'aspect humain des survivants n'en ressort que davantage, renforcé par les touches d'humour qui parsèment le récit en dépit des épreuves qu'ils traversent. A la joie d'une naissance succède la peur de perdre un proche en des séquences pleines de réalisme et d'émotion :

”Mais putain, c'est quoi, ton problème ? Tu es vieux, nom de Dieu ! Tu es lent ! Tu es faible ! merde ! Qu'est-ce qui t'est passé par la tête ?! Tu n'es pas un héros. Tu n'as rien à prouver ! Tu es un vieillard inutile et pathétique ! Inutile ! Pathétique !
(Andréa à Dale, angoissée à l'idée de le perdre, page 82)

Tandis que Karl, heureux de la naissance de sa petite soeur, livre ce qu'il ressent vraiment à ses parents :

”Elle a de la chance. Elle se dira que tout est normal. Elle ne saura jamais que tout va de travers... ou comment c'était avant. Elle n'aura pas peur tout le temps.
(Karl, page 83)

Par ailleurs, après l'horreur du tome précédent, nous sommes rassurés ici sur le sens des valeurs encore bien ancrées dans certains personnages, comme par exemple la réaction horrifiée d'Andrea lorsqu'elle est obligée de tuer un sbires du Gouverneur pour défendre les membres de son groupe :

”Andrea : Je lui avais dit de ne pas bouger, hein ? Je lui avais dit de ne pas bouger ! Je ne voulais pas le tuer... ni l'autre. Ils allaient nous tuer. Je n'avais pas le choix. Je devais...
Tyreese : Ca va, ma grande. Tu n'as rien fait de mal. Tu m'entends, Andrea ? Tu as fait ce qu'il fallait.
(page 55)

Pour conclure, un tome de transition nous offrant un moment de répit bienvenu avant la tourmente suggérée par la dernière page. Les personnages gagnent encore en profondeur, les rendant furieusement attachants, même si l'on craint constamment pour leur longévité !
Lien : http://parthenia01.eklablog...
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Comme son nom l'indique parfaitement, le septième tome de la série Walking Dead, Dans l'Oeil du Cyclone, expose un temps de repos relatif pour notre groupe de survivants. Après s'être lancé à corps perdu dans le détail des atrocités vécues (endurées ou administrées) par les héros et héroïnes, Robert Kirkman se fait un malin plaisir de revenir aux fondamentaux théoriques de cette série : les sentiments des survivants et les relations entre eux. Et finalement, ce tome passe aussi vite que les autres (malheureusement presque) car les maux des deux derniers tomes nécessitaient au moins un tome de soin pour les gommer et aller de l'avant. Pour finir, le cliffhanger de fin est tendu à souhait et relance parfaitement la tension des événements : difficile d'en dire davantage sans "spoiler". Un très bon épisode donc, qui se veut centré sur l'affectif et l'humain, thèmes censés être au centre de la série depuis le départ et où Robert Kirkman excelle finalement.
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Un tome qui correspond bien à son titre, dans l'oeil du cyclone: le calme est présent tout au long du volume. Même si les auteurs cherchent à relancer la machine par une petite expédition ravitaillement, on sent le numéro de transition, qui permet de terminer certaines histoires et de révéler certains secrets que seul le lecteur partageait avec certains personnages.
Cela en fait un tome moins abouti car, même si la série trouve sa qualité dans la fine analyse des personnages et des rapports sociaux que la situation "apocalypse zombie" entraîne, l'intérêt est que cette finesse soit accolé à des scènes d'action rondement menées et que ce soit l'opposition de ces deux éléments qui fassent l'harmonie.
On est donc un peu en attente comme les personnages de l'orage qui s'annonce pour la suite... en espérant que le prochain tome ne soit pas à l'inverse tout action et en néglige un équilibre qui est la réussite incroyable de cette série.
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Voilà un tome pour se poser et souffler (surtout après un tome 5 et un tome 6 de folie) avec quelques séquences heureuses. il y a encore quelques drames mais rien à voir avec les autres tomes. Mais les dernières pages nous apprennent que c'est reculer pour mieux sauter. le danger ne vient pas des zombies. J'en connais une qui aurait mieux fait de finir le boulot quand il était encore temps.
Le tome 8 me fait peur. J'ai envie de le lire parce que je veux savoir ce qui arrive à ce petit groupe de survivants. Mais ça promet d'être saignant. Ce n'est pas comme devant la télé où je peux me planquer derrière mon plaid et demander à mon homme si c'est bientôt fini...
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Un tome de transition par excellence, mais qui fait du bien, ça apporte du répit après les évènements des précédents épisodes.

Rick, Glenn et Michonne ont réussi à s'échapper de Woodbury, de retour à la prison, le calme semble être revenu. Lori est sur le point de mettre au monde son bébé et par chance, Alice qui s'est elle aussi enfuie de Woodbury pourra la faire accoucher. Mais la menace du Gouverneur plane au-dessus de Rick et les siens, et malheureusement une attaque imminente se prépare.

Pour commencer, certes il s'agit d'un tome de transition, mais il s'est tout de même passé un certain nombre de choses et pas des moindres. Autant dire que les rebondissements sont nombreux et offrent au lecteur un véritable divertissement. J'étais ravie de suivre les personnages se reconstruire et vaquer à leurs occupations quotidiennes. Tout comme j'ai beaucoup aimé la question de la maternité dans ce tome, que ce soit par la naissance de Judith ou encore le fait que Glenn et Maggie souhaitent à leur tour devenir parents. Cela rajoutait un petit quelque chose à l'histoire et donne un regain d'espoir aussi bien aux survivants, qu'aux lecteurs. On sent que malgré toutes les horreurs vécues par chacun d'entre eux, l'espoir et la vie reprennent le dessus. C'est un message plutôt positif qui nous est renvoyé et dans un univers comme celui-ci ça met du baume au coeur. J'ai également apprécié le fait que des mutilés soient intégrés au récit, et qui malgré leur handicap jouent un rôle essentiel dans la survie du groupe. Ça donne une certaine profondeur à l'univers et rajoute un aspect réaliste indéniable. Encore une fois je salue l'auteur qui parvient à retranscrire une véritable société.
En revanche, quelque chose m'a particulièrement agacée c'est le retour des ellipses qui arrivent sans prévenir, et ce, à plusieurs reprises ! On passe d'un évènement marquant à un vulgaire « deux semaines plus tard » qui est annoncé dans les dialogues lorsque les personnages parlent entre eux. Je ne comprendrais jamais ce choix, ça me frustre à chaque fois. J'espère ne pas retrouver ça aussi souvent dans les prochains tomes, car en plus d'être pénible, ça coupe dans l'action.

Pour conclure, ce tome apporte un peu de répit, mais offre tout de même un panel d'évènements et d'émotions. Quant à la fin, outre le fait que ça m'ait hérissée les poils, ça annonce une suite explosive et des pertes alors même que Rick et les siens en ont subi un certain nombre depuis le début. En tout cas, j'ai adoré et je suis impatiente comme toujours de me plonger dans la suite !
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Après le rythme effréné et plein d'actions des tomes précédents, ce 7ème volume de "Walking dead" m'est apparu un peu plat : OK Lorie a enfin son bébé, OK, il arrive des trucs pas cools à Carol, mais enfin il ne se passe pas grand chose de bien passionnant... sauf à la dernière page, ce qui me fait me jeter sur le 8ème tome sans attendre ! Miam !
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