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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
"The Walking Dead T.32" de @RobertKirkman et @CharlieAdlard chez @DelcourtBD

Synopsis :

"Rick va-t-il réussir à ramener la paix au Commonwealth ? La situation s'envenime avec la Gouverneuse Milton. Et une question essentielle reste posée, sans réponse dans l'immédiat : si une communauté aussi puissante et organisée que le Commonwealth venait à tomber, qu'est-ce que cela dirait de l'état du monde ? Pas certain que le futur soit très brillant pour nos protagonistes…"

Scénario : Robert Kirkman ;
Dessins : Charlie Adlard ;
Éditeur : Delcourt ;
Prix : 14.95 € ;

Depuis le tome 30, que j'ai attendu longtemps et je ne suis pas le seul, j'ai pris de nouveau goût à redécouvrir la suite des aventures de Rick & Co avec le tome 31 et celui-ci. En effet, après un détour par la série, incartade qui commençait bien et qui à très mal finie, je me suis replongé avec plaisir dans un arc très important pour toute la petite communauté que l'on suit depuis de nombreuses années. Eh, oui, dans ce tome 32, nous poursuivons plus en avant les liens qui se sont liés difficilement entre le Commonwealth et les différentes communautés gérées par Rick, il est d'ailleurs invité par la Gouverneuse Milton à une petite visite privée de leur univers, politesse que renverra Rick, en lui faisant découvrir son monde. Malgré cela, les tensions sont plus que palpables entre ces deux communautés, mais également à l'intérieur de chaque camp. C'est donc un avant-dernier tome qui s'ouvre sur un conflit ou tout du moins un énième combat que devrons mener ou non Rick et ses amis afin d'enfin, pouvoir vivre sereinement dans ce nouveau monde dessiné par cette foutue apocalypse. Nous saurons certainement si cela fonctionnera dans le dernier tome, nommé "Épilogue", qui sortira en 2020, pour conclure cette magnifique série. A suivre.

Dans ce tome 32, nous avons encore et toujours tout ce qui a fait le succès de cette série depuis son lancement, une histoire en or, une ambiance oppressante, stressante et délétère, des personnages charismatiques et parfaits dans leur rôle respectif et une qualité visuelle, dû à un rendu en noir et blanc sublime, de toute beauté. J'ai, d'un certain côté, hâte de lire le dernier tome pour savoir comment cela se termine, même si, d'un autre côté, je risque d'être déçu par cette fin, qui n'amènera pas toutes les réponses aux questions que l'on se pose depuis le tome 1. Par exemple, qu'est-ce qui a provoqué cette apocalypse ? Question centrale, qui a été petit à petit oubliée. Mais bon, on verra ça début 2020 avec le tome "Épilogue". Je ne peux donc que vous conseiller de lire ou de relire ce comics génial, qui me tient en haleine depuis 15 ans maintenant. C'est du bon et du très lourd, le travail que nous offre Monsieur Robert Kirkman, et je n'ai donc qu'une envie, c'est de découvrir une autre de ses grosses séries : Invincible, qui m'a l'air d'être au top également.

Note Tome 32 : 5/5.
Lien : https://wordpress.com/post/y..
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Ce tome fait suite à The Walking Dead Volume 31 (épisodes 181 à 186) qu'il faut avoir lu avant. Il comprend les épisodes 187 à 192, initialement parus en 2019, écrits par Robert Kirkman, dessinés par Charlie Adlard, et encrés Stefano Gaudiano, avec des nuances de gris appliquées par Cliff Rahtburn. Il s'agit de l'avant- dernier tome de la série, l'épilogue (épisode 193) étant publié dans le tome 33.

La gouverneure Pamela Milton est en train de s'adresser à l'ensemble de la communauté du Commonwealth pour évoquer la tentative d'assassinat dont elle a été la cible et indiquer qu'elle a été sauvée par l'intervention de Rick Grimes. Elle lui donne la parole pour qu'il puisse s'adresser directement à la foule. Il évoque les tensions existant au sein de la communauté et promet d'oeuvrer à des solutions pacifiques. À Alexandria, Magna indique à Siddiq qu'elle souhaite qu'il rejoigne Hilltop. Au Commonwealth, Mercer rentre chez lui et constate que Juanita Sanchez s'apprête à partir. Devant son incompréhension, elle lui raconte comme était sa vie avant les zombies et pourquoi elle ne se sent pas à l'aise dans cette ville. À Hilltop, depuis l'étage de sa maison, Carl Grimes regarde Sophia discuter en marchant avec Josh. Carl a le sourire aux lèvres, et il doit s'en expliquer avec Lydia. La conversation se termine mal, Lydia partant fâchée. Peu de temps après en banlieue du Commonwealth, Mercer est en train de débiter du zombie pour se passer les nerfs. Laura abat un des zombies avec un fusil et évoque avec Mercer comment mettre cette frustration à profit.

Au Commonwealth, Michonne rejoint Rick Grimes en terrasse pour évoquer les circonstances dans lesquelles il a tué un homme pour sauver Pamela Milton. Siddiq arrive devant les fortifications de Hilltop et se fait ouvrir par les hommes de faction, guère à leur tâche. Dans son bureau, Maggie explique à Siddiq, Jesus, Aaron et Dante qu'elle est inquiète que Rick Grimes ne soit pas encore revenu et qu'elle n'a aucune confiance en Pamela Milton. Elle leur demande de se rendre au Commonwealth pour récupérer Rick Grimes. Carl Grimes exige de les accompagner, car il s'agit de son père. Au Commonwealth dans les vestiaires de la police, Mercer commence à évoquer devant ses hommes la possibilité d'une action armée pour déposer Pamela Milton. Lance fait irruption avec des gardes armés et fait arrêter Mercer.

En octobre 2003, sort le premier numéro de la série mensuelle The Walking Dead. 16 ans plus tard, en juillet 2019 sort le dernier épisode, le numéro 193. Aucune surprise pour ce dernier tome : c'est du Kirkman / Adlard / Gaudiano / Rathburn. Ce dernier est passé maître dans l'art de donner l'impression d'avoir mis en couleurs les planches, uniquement avec des nuances de gris soulignant les reliefs, accentuant la distinction entre les différents éléments de chaque case, développant l'ambiance lumineuse. Stefano Gaudiano est toujours aussi habile à combiner le respect des traits de l'artiste, tout en apportant un degré de précision et de description plus important. S'il ne fait pas l'effort d'y penser, le lecteur peut oublier que ce n'est pas Charlie Adlard qui réalise ses planches tout seul. Enfin ce dernier a conservé toute l'efficacité qui le caractérise : lisibilité immédiate, dessins choc fonctionnant parfaitement, et mise en scène un peu facile des dialogues. Enfin Kirkman est égal à lui-même avec une narration efficace, des moments choc, et une dramatisation appuyée. Bien évidemment ce dernier tome est l'occasion de faire apparaître la majeure partie des principaux seconds rôles encore vivants. le scénariste n'a pas oublié les zombies, avec l'irruption d'une harde qu'il convient de combattre et de neutraliser. le lecteur trouve ce qu'il est en droit d'attendre pour une fin de récit au long cours.

À l'issue de ce tome, le lecteur ressent que le récit est bel et bien arrivé à son terme, qu'il n'appelle pas de suite. Il a dévoré ces nouvelles péripéties, Kirkman n'ayant pas perdu la main pour les rebondissements et l'horreur, Adlard étant toujours aussi efficace pour donner à voir la soudaineté, la violence, les tensions entre les personnages, les émotions, la souffrance affective. le scénariste est toujours aussi exigeant avec le dessinateur, en particulier pour les dialogues longs et copieux. Ce tome est assez bavard dans certaines séquences, Kirkman abordant une dernière fois les thèmes principaux de la série. C'est ainsi qu'il est question du droit à la différence et de l'importance du comportement des parents vis-à-vis de leurs enfants au travers du récit de Juanita Sanchez. La relation parent-enfant est également illustrée par le comportement de Pamela Milton envers son fils Sebastian, des souvenirs de Sophia pour Maggie. Bien évidemment, la situation au Commonwealth continue d'évoluer : le ressentiment d'une frange de la population vis-à-vis du gouvernement de Pamela Milton est exacerbé par le discours de Rick Grimes et l'exemple qu'il donne. le scénariste revient sur des prises de position qu'il a déjà affichées, à commencer par la volonté de trouver des solutions non-violentes, et équitables. Mais il ne fait pas du surplace. Rick Grimes peut enfin clamer que les personnes ne sont plus des morts en marche, faisant écho à une déclaration à l'opposé en début de série.

Comme à son habitude, Rick Grimes dégage un charisme impressionnant et prend des postions bien tranchées. D'un côté, le lecteur peut être un peu frustré par Rick expliquant à Carl que ce n'est pas dur de savoir comment bien agir : il suffit de suivre ses convictions. C'est un peu court comme compas moral pour prendre les bonnes décisions. de l'autre côté, il voit que Rick Grimes est prêt à beaucoup de sacrifice pour assurer la pérennité du Commonwealth : Robert Kirkman met en lumière l'importance de préserver ce qui est a été construit. Non seulement il est plus facile de détruire que de construire, mais en plus il faut savoir voir et apprécier ce que l'on tient pour des acquis. La société n'est pas parfaite, mais ce degré de civilisation a été chèrement acquis et reste fragile. le lecteur prend un grand plaisir aux moments geek du récit : la reconquête des territoires grâce au train, le moment de bravoure d'Eugene Porter et Stephanie, le retour en masse des zombies, Magna soufflant dans l'olifant, l'évasion de la prison… Dans le même temps, il retrouve la sensibilité politique de l'auteur, toujours aussi intelligent dans ses propos. Chaque confrontation idéologique se fait sous la forme d'une situation de conflit physique pleine de suspense, sans abêtir le propos ou en diminuer la pertinence. À 2 reprises, des forces armées sont en opposition dans les rues du Commonwealth, prête à faire feu. le lecteur ressent à la fois la peur de voir la situation dégénérer dans un conflit armé entre les troupes de Mercer et les civils, un amusement quand un civil traite Mercer de fasciste, un plaisir ineffable quand Rick Grimes prend la parole pour décrire la situation à Mercer, la faisant apparaître sous un jour totalement différent.

Ainsi à l'issue des 6 épisodes (187 à 192), le lecteur se trouve repu et rassasié ; il ne lui reste plus qu'à lire la coda dans le tome suivant.

En refermant cet avant dernier tome, le lecteur se rend compte qu'il a versé une larme, peut-être pour une mort terrible, peut-être pour une relation interpersonnelle, peut-être pour la prise de conscience de la fragilité de la société et de la civilisation. Il quitte à regret Rick Grimes et tous les autres, tout en respectant le choix de Robert Kirkman. Il salue des auteurs qui se montrés d'une régularité remarquable et d'une intégrité exemplaire, et d'une grande ambition, racontant un récit de genre en utilisant ses conventions au premier degré sans condescendance, tout en développant des thèmes compliqués avec conviction et intelligence.
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Un bon comics tient tout autant à l'art des auteurs à créer un univers palpitant qui tienne la route, qu'à la capacité de ces mêmes auteurs à mettre fin à l'aventure.

Les 31 premiers tomes de Walking Dead attestent globalement du premier élément. Ce tome 32 (et le dernier qui s'annonce sous le titre Epilogue) montrent la grande maturité et l'incroyable efficacité de Robert Kirkman. Ce n'est pas un spoiler, on s'achemine vers la fin de la série. Arrêter en pleine gloire, ce n'est pas donné à tout le monde.

Ce tome montre donc le talent des auteurs. D'une part, en forme de testament, il brasse les rouages les plus importants de la série (à savoir qu'est-ce que l'humanité, qu'est-ce qui nous rend humain, que doit-on sauver de nous-mêmes, le monde ne serait-il pas mieux sans nous...). D'autre part, il nous emmène encore plus loin sur le cheminement de l'abominable et de cette foutue nature humaine qui consiste à se servir d'autrui à nos fins personnelles.

La Gouverneure a fort à faire pour persuader Rick du bien-fondé de la Communauté. On fait le point sur Alexandria, la Colline... tous les campements mis en place par Rick et qui semblent si fades par rapport à la Communauté. Mais derrière ce beau décor se cachent une stratification sociale que Rick a toujours combattue. Alors, quand Rick soutient la Gouverneure, essaie-t-il de noyer le poisson ou essaie-t-il de se persuader lui-même?

Attendez-vous à être surpris... mais finalement pas tant que cela... je n'en dirai pas davantage. Sans doute un des meilleurs tomes de la série.
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La fin approche... Dans ce tome 32, chaque personnage important est mis en valeur : on en apprend plus sur le passé et la personnalité de Princesse, on tremble pour Eugene et Stephanie, on assiste à la chute politique de la Gouverneuse au profit des idées de Rick, on est touché par ce que vit Carl,...

Le lecteur ne s'ennuie pas un seul instant ! Il y a beaucoup de bouleversements dans ce tome. Depuis le temps, on est habitué aux scènes chocs et on n'échappera pas à la règle pour cette fin de série. Et quelle fin, j'en reste sans voix !

Il ne me reste qu'à lire l'épilogue, j'en frissonne déjà.
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Ce tome 32 se résume par "Non mais NON pas ça !!! Non mais pourquoi..." Alors Sinon, fans ce tome nous retrouvons Rick qui culpabilise d'avoir tué Dwight qui menaçait de tuer la gouverneuse Milton et dans la foulée faire éclater la rébellion. Mais le peuple de la Communauté est au bord de la révolte et n'a plus confiance en sa dirigeante et ceux qui y font régner l'ordre. Leurs espoirs résident dans un nouveau leader et beaucoup pensent à Rick.

Cette fin du voyage est en fait l'avant dernier tome où nous perdons le personnage emblématique de ce comic et on se demande comment Kirkman va clore cette saga : une fin où les humains arrivent de nouveau à vivre ensemble et en bonne intelligence ou alors les zombies vont gagner le combat jusqu'à ce qu'il ne reste plus âme qui vive sur cette Terre !
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Un avant dernier tome intense, qui nous prend aux tripes. On sent que l'histoire touche à sa fin, que le monde dans lequel vivent les protagonistes commencent à se reconstruire. La question de la reconstruction est d'ailleurs intéressante dans sa question principale de savoir s'il faut reconstruire à l'identique ou en profiter pour abolir les inégalités (Walking Dead, une oeuvre philosophique ?!).
Ce qui n'empêche un twist à crever de tristesse, et une émotion palpable et extrêmement bien rendu - les auteurs font très fort à ce sujet.
Bref, même s'il ne s'agit pas encore de la fin officielle de la série, je m'autorise à conclure que Walking Dead est une histoire qui a transcendé le genre zombie-horreur.
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Dernier album de la série Walking Dead (enfin je viens de découvrir qu'il y a un épilogue...) et derniers moments avec tous ces personnages qui auront vécus de nombreuses et terribles aventures.
Ce dernier album est d'ailleurs à l'image de la série : beaucoup de psychologie, de luttes, de coups de théâtre et au final, une conclusion qui peut décevoir. Mais c'est normal, avec un tel monde créé, des personnages si nombreux et si charismatiques, on ne peut que être déçu que cela se termine.
Robert Kirkman a développé une série si intense, si tragique, avec une telle profondeur psychologique pour ses personnages, que la série Walking Dead est devenue une référence dans les Comics, place qu'elle mérite.
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ATTENTION, SPOILERS !

Oh la vache ! Ah ouais ! Alors celle-là, je ne m'y attendais absolument pas !

Vous vous souvenez ce que je viens de dire à propos des tomes 30 et 31 ? L'impression de lassitude, de déjà vu, tout ça. Oubliez tout ! Ce qui était vrai pour les deux tomes précédents ne l'est absolument pas pour celui-ci. Il est vrai qu'ici l'action s'accélère pour atteindre un point… quasiment inimaginable au stade où on en est rendus !

Bon, nous avons ici la suite logique des événements. Les tensions qu'on commençait à nous dépeindre dans le tome précédent, liées au mode de fonctionnement de la communauté dirigée par la Gouverneuse, prennent la tournure à laquelle on aurait pu s'attendre. Ca monte, ça monte, et ça se transforme en émeute. Au milieu de tout ça, Rick essaie de faire de son mieux pour calmer la situation. Mais tout s'enchaîne et ça en devient incontrôlable, même pour lui.

Alors bon, c'était prévisible hein. On le sentait bien dans le tome précédent que de toute façon, ça ne pourrait pas se passer autrement. Néanmoins, comme je le dis un peu plus tôt, tout ça finit par mener à un événement qu'on ne pouvait pas prévoir (enfin, en tout cas moi, je ne l'avais pas vu venir).

Donc non, clairement, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde dans ce tome. Et le fait de l'avoir enchaîné avec le précédent m'a aidée à ne pas me sentir perdue au départ.

Mais… WOW ! Là, pour le coup, j'attends vraiment le tome suivant qui sera le tout dernier de la série si j'ai bien compris.
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Un univers toujours aussi prenant, difficile de lâcher son livre en cours de lecture tant l'histoire est captivante. Un gros retournement de situation à la toute fin. Une série qui se termine. Pour les amateurs de zombie, de survie, d'horreur, je ne peux que vous conseiller cette saga, très riche qui a donné une nouvelle jeunesse à l'univers zombie.
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C'est presque la fin… Cet album, le trente deuxième, eh oui déjà, nous donne le devenir des communautés quand les hordes arrivent à être gérées et que l'équilibre entre les différentes méthodes de gouvernance se trouve. Dans cet album il est question de pouvoir au sein des communautés. Des erreurs vont être encore faites. Malheureusement, il va y avoir encore des morts.

Vous l'aurez peut-être vu et vous aurez peut-être lu mes précédentes critiques, j'aime beaucoup cette grande saga. J'aime le style, l'histoire.

Cet épisode même si le récit reste basique propose toujours son lot de surprise. Il est question de complot, d'insurrection et de prise de pouvoir au sein d'une communauté. Rick est présent à nouveau pour essayer de régler les problèmes qui interviennent. Ce n'est pas un album dans lequel il faut massacrer les morts-vivants et cet album depuis que les communautés sont bien implantées est celui qui présente certainement le plus de sérénité face au monde horrible qui attend dehors. Bien sûr, le danger est à l'intérieur.

Graphiquement, il y a nettement de l'amélioration. Les personnages sont moins brouillons, mieux travaillés. Les décors sont plus détaillés.

Un très bon album avec des rebondissements insoupçonnables.
Lien : https://lectureroman.wordpre..
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