Dès les premières pages, l'auteure vous projette dans le monde qui va devenir le nôtre jusqu'au terme du voyage. Vous êtes happé, bousculé par une écriture nerveuse qui vous accompagne et vous happe sans vous agresser. Des aphorismes sont semés eu creux des pages comme autant de petites pierres précieuses , et ça brille
Dans la première moitié du livre, l'auteure nous ménage avant de nous entraîner progressivement dans
la dissociation: commencent alors des voyages verticaux, vertigineux, souterrains et ascensionnels …..
Vous êtes livrés à vous même au coeur du roman:
A vos pages …
La fiction et la réalité s'entrecroisent et s'entremêlent à tel pour qu'il nous est parfois difficile de ne pas les confondre.
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La dissociation me rappelle l'ouvrage de
Mariam Petrosyan «
la maison dans laquelle » ou/et le petit joueur d'échec : Roman de
Yoko Ogawa parce qu'ils nous projettent dans un univers que l'on croit parallèle au.nôtre mais qui en fait se superpose à lui..
J'ai adoré..
(un vieux monsieur que l'âge a indifférencié )
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