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Critique de joedi


Édition le Tripode – Littératures - Arts - OVNIS

Extrait de la Postface de Jean-Pierre Minaudier, traducteur de L'homme qui savait la langue des serpents :

C'est comme un pamphlet et non comme un simple conte fantastique que le roman de Kivirähk a été accueilli en Estonie. Cette dimension pamphlétaire n'a pas surpris le public estonien, même si elle était absente des précédents romans de Kivirähk : il intervient régulièrement dans les journaux sur des sujets politiques ou de société. Elle n'a pas non plus vraiment fait scandale, car les Estoniens sont tolérants et ont un sens aigu de l'autodérision, et parce que depuis quelques années des essayistes, comme Andreï Hvostov, et des historiens, comme Ea Jansen, disent à leur manière ce que Kivirähk exprime sur le mode romanesque.

Quatrième de couverture

Empreint de réalisme magique et d'un souffle inspiré des sagas islandaises, L'homme qui savait la langue des serpents révèle l'humour et l'imagination délirante d'Andrus Kivirähk.

Le roman qui connaît un immense succès depuis sa parution en 2007 en Estonie, retrace dans une époque médiévale réinventée la vie d'un homme qui, habitant dans la forêt, voit le monde de ses ancêtres disparaître et la modernité l'emporter.

Grand Prix de L'Imaginaire 2014

Challenge Atout prix 2017 – Grand Prix de L'Imaginaire 2014

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