- J'ai toujours cru qu'une bonne éducation devait enseigner aux élèves à penser par eux-mêmes.
On écrit et on lit de la poésie parce que les hommes sont des êtres de passion.
Qu'y a-t-il de bon dans tout cela, ô moi? Ô vie?
Réponse
Que tu es ici - que la vie existe, et de l'identité,
Que le prodigieux spectacle continue,
Et que, peut-être, tu y contribue par ta rime
Ô Capitaine, mon Capitaine !
Dire que la plupart des gens ne vivent qu'une vie, et encore, s'ils ont de la chance. Un acteur, lui, peut vivre des dizaines de vies toutes plus passionnantes les unes que les autres !
- A votre place, John, je ne m'inquiéterais pas tant des dangers du conformisme sur mes élèves.
- Pourquoi cela ?
- Eh bien, vous êtes vous-même le produit de ces murs, non ?
- Oui, et alors ?
- Alors, si voulez forger un athée irréductible, assommez-le de principes religieux inflexibles : ça marche à tous les coups.
J'ai toujours cru qu'une bonne éducation devait enseigner aux élèves à penser par eux-mêmes.
Cette expérience fort instructive avait pour but d'illustrer la force du conformisme et la difficulté de défendre vos convictions face aux autres. (...) Messieurs, nous portons tous en nous ce désir d'être accepté; mais tâchez d'encourager ce que vous portez d'unique ou de différent, même si vous devez pour cela vous faire taxer d'excentricité.
La poésie nous est nécessaire et nous devons sans cesse nous arrêter pour la débusquer dans le plus simple des actes; sinon, nous risquons de passer à côté de ce que la vie a de plus beau à nous offrir.
Certains fanatiques peuvent bien affirmer que tel ou tel sport est par essence supérieur à tel autre. Pour moi, l'essentiel, dans le sport, c'est le dépassement de soi auquel il nous oblige sans cesse. C'est ainsi que Platon, pourtant si doué naturellement, a pu dire : « C'est la compétition qui a fait de moi un poète et un orateur. »