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Critique de grm-uzik
"Époux à la ville, Julie et Bobby ont fondé l'agence de détective privé "Dakota & Dakota".
Tous deux rêvent d'amasser un jour suffisamment pour prendre leur retraite, acheter une maison et reprendre avec eux, le frère trisomique de Julie, placé en maison de soin.
Ce rêve semble d'un coup à leur portée le jour où l'un de leurs employés, Clint Kaghiosis, leur expose le cas de Frank Pollard.
Un homme qui se réveille tous les matins sans se rappeler ce qu'il a fait, et bien souvent en possession de grosses sommes d'argents, ou de pierres précieuses.
Amnésie, d'autant plus terrifiante qu'il lui arrive également de reprendre conscience les mains tachées de sang ou accompagné d'insectes inconnus.
D'abord réticent, le couple finit par se mettre au service de Frank, qui se sait poursuivit par un autre homme, et leur demande de recoller les morceaux de sa mémoire défaillante.
Il finissent par découvrir la véritable nature de leur client, non sans conséquences sur eux et leur entourage..."
"La maison interdite" n'est certes pas de la grande littérature mais quand même un roman plutôt bien écrit et très bien conçu.
Dès qu'on ouvre les premières pages de ce bouquin, on sait déjà ce qu'on va trouver : une mise en place assez longue (mais tout de même nécessaire) des personnages, ponctuée de scènes chocs pour maintenir le suspens.
N'empêche que l'auteur, Dean Koontz peut parfois déplaire à certaines personnes car il utilise un peu (trop) régulièrement les mêmes recettes en se complaisant dans de longues métaphores et de descriptions. Mais il arrive toujours a intéresser son lectorat, même si le recours au paranormal lui donne l'occasion de laisser de côté les explications.
Et sinon, l'ensemble des personnages est parfaitement bien décrit, qu'on a l'impression de les connaître en si peu de temps. Ils sont très attachants lorsque l'invraisemblable intrigue inquiétante commence à nous être livrée au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire trépidante. Et la surprise est de taille dans le dénouement.
"La maison interdite" est au final, une oeuvre particulièrement inventive, sombre, dure, servie avec une "pré-fin" magistrale.
Un pur joyau du style fantastique horrifique science-fictionnesque et une belle pointe d'assassinat morbide que je recommande chaudement aux amateurs de thrillers, de polars et de terreurs !
Tous deux rêvent d'amasser un jour suffisamment pour prendre leur retraite, acheter une maison et reprendre avec eux, le frère trisomique de Julie, placé en maison de soin.
Ce rêve semble d'un coup à leur portée le jour où l'un de leurs employés, Clint Kaghiosis, leur expose le cas de Frank Pollard.
Un homme qui se réveille tous les matins sans se rappeler ce qu'il a fait, et bien souvent en possession de grosses sommes d'argents, ou de pierres précieuses.
Amnésie, d'autant plus terrifiante qu'il lui arrive également de reprendre conscience les mains tachées de sang ou accompagné d'insectes inconnus.
D'abord réticent, le couple finit par se mettre au service de Frank, qui se sait poursuivit par un autre homme, et leur demande de recoller les morceaux de sa mémoire défaillante.
Il finissent par découvrir la véritable nature de leur client, non sans conséquences sur eux et leur entourage..."
"La maison interdite" n'est certes pas de la grande littérature mais quand même un roman plutôt bien écrit et très bien conçu.
Dès qu'on ouvre les premières pages de ce bouquin, on sait déjà ce qu'on va trouver : une mise en place assez longue (mais tout de même nécessaire) des personnages, ponctuée de scènes chocs pour maintenir le suspens.
N'empêche que l'auteur, Dean Koontz peut parfois déplaire à certaines personnes car il utilise un peu (trop) régulièrement les mêmes recettes en se complaisant dans de longues métaphores et de descriptions. Mais il arrive toujours a intéresser son lectorat, même si le recours au paranormal lui donne l'occasion de laisser de côté les explications.
Et sinon, l'ensemble des personnages est parfaitement bien décrit, qu'on a l'impression de les connaître en si peu de temps. Ils sont très attachants lorsque l'invraisemblable intrigue inquiétante commence à nous être livrée au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire trépidante. Et la surprise est de taille dans le dénouement.
"La maison interdite" est au final, une oeuvre particulièrement inventive, sombre, dure, servie avec une "pré-fin" magistrale.
Un pur joyau du style fantastique horrifique science-fictionnesque et une belle pointe d'assassinat morbide que je recommande chaudement aux amateurs de thrillers, de polars et de terreurs !
