L’étude de l’art ancien sera certainement toujours de première nécessité, comme la base indispensable de toute éducation artistique. Mais, ici, en France, nous avons un autre climat et d’autres moeurs que les Grecs, et ce serait une folie que de négliger les productions de nos pères ; c’est en elles, surtout, que résident la saine tradition et le secret de ce goût français dont la supériorité a été reconnue et acceptée universellement depuis près de trois siècles.