Alexandra Koszelyk confirme, pour moi, dans ce deuxième roman son grand talent de conteuse.
Remplissant habilement les blancs laissés par la biographie de
Guillaume Apollinaire qu'elle maîtrise parfaitement , elle lui associe par l'intermédiaire de son narrateur Florent, qui peu à peu perd ses repères, un deuxième personnage, la nature, qui se personnifiant va gagner en ampleur ... et quelle ampleur !
Un peu de magie, beaucoup d'amour, l'ombre de la mort qui rôde, et tout à coup une sensation d'appartenance à quelque chose de plus grand ...
Merci, du fond du coeur, pour ce roman 🙏🏼
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