Quand on a lu
L'Insoutenable légèreté de l'être, ces nouvelles semblent presque affligeantes. Et pourtant, il y a quelques bonnes phrases, quelques bonnes idées, malheureusement présentées au lecteur comme un éventail de prostituées à Amsterdam. Considérons ces nouvelles comme un exercice de préparation effectué une quinzaine d'années avant le grand roman de
Milan Kundera, et réconfortons-nous avec l'Insoutenable légèreté contre l'insoutenable platitude.
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