Le garçon qui courait plus vite que ses rêves

Solomon a 11 ans et vit dans une province reculée d'Ethiopie avec ses parents, sa petite soeur et son grand-père. Son rêve : devenir un champion olympique d'athlétisme, en course à pied.

Son grand-père, pour une raison inconnue, décide de l'emmener à la capitale, Addis-Abeba, pour qu'il puisse acclamer la délégation olympique lors de son retour au pays. Solomon est impressionné, d'autant qu'il n'a jamais mis les pieds dans une ville aussi « vivante ».

L'intrigue se corse lorsque le grand-père fait un malaise cardiaque. Et à partir de ce moment-là, Solomon va se surpasser pour tenter de le sauver…

Je qualifierais ce roman jeunesse « d'aventures », il est dépaysant et se laisse lire, bien que l'on aurait pu s'attendre à plus d'action avec l'importance du thème du sport et la fin aurait mérité d'être peut-être un peu plus étoffée. Lecture idéale pour les 10-12 ans.

Courir pour aller à l'école, courir pour sauver son grand-père, courir pour faire honneur à son pays... Solomon court dans ses rêves et aussi dans la réalité. Et elle n'est pas facile la réalité éthiopienne, même si elle laisse un peu de place aux rêves.
Bon, on pourrait se dire que les enfants Ethiopiens peuvent avoir d'autres rêves que celui d'être de grands coureurs. Mais Solomon court vite, son grand-père l'a repéré.
C'est un roman qui va aussi vite que son personnage principal, qui s'arrête quand même pour rencontrer des personnes, de confiance ou non. Mais le mal ne dure jamais très longtemps et souvent (mais pas toujours) les choses s'arrangent.
Un petit roman sans prétention, qui se laisse lire.

Salomon vit avec ses parents, sa soeur et son grand-père dans la campagne éthiopienne, à 8 km du village de Kidame. Un soir, se rendant compte que Salomon a 11 ans, le Grand-père décide de se rendre avec lui le lendemain à la capitale, Addis-Abeba, pour rencontrer quelqu'un. Ils font la route, de près de 40 km, à pied. Sur place, le grand-père, épuisé, retrouve le fils de son meilleur ami...
Un joli roman qui peint le quotidien d'un enfant éthiopien dans un pays où la richesse est dans les jambes de ses athlètes, mais sans évoquer la misère ou la durete de la vie mais plutôt l'importance de la solidarité.

Une belle histoire de courage !
Plusieurs thèmes s'entremêlent étroitement dans ce roman. Il y a tout d'abord la pauvreté dans laquelle vivent Solomon et sa famille. C'est la première fois que le jeune garçon se rend à la capitale, et tout est sujet à émerveillement ! Cependant, en se liant d'amitié avec Kebede, Solomon comprend qu'il ne suffit pas d'habiter en ville pour vivre dans l'aisance : "Kebede avait des chaussures aux pieds, mais c'était lui qui m'enviait". Celui-ci est en effet orphelin et son oncle n'a pas les moyens de lui payer l'école.

L'intrigue tourne aussi beaucoup autour de la relation entre Solomon et son grand-père. Un grand-père autoritaire et peu loquace qui se dévoile progressivement lors de cette virée initiatique : il va révéler à son petit-fils une partie de son passé et notamment un secret surprenant qu'il a longtemps gardé sous silence.

C'est grâce à cette complicité nouvelle que l'adolescent va trouver la force de réaliser son exploit final : encouragé par la voix de son grand-père dans sa tête ("Garde le même rythme. Lent et régulier."), il comprend un élément essentiel de la course à pied : "Courir ne dépend pas que de vos jambes et de vos bras. Ce qui compte réellement, c'est ce qui se passe dans votre tête".
Une sympathique immersion dans le monde du sport doublée d'un récit initiatique sur le dépassement de soi.
Lien : http://www.takalirsa.fr/le-g..

(R W-M) Solomon a une passion: courir. Et cette passion lui permettra de découvrir l'histoire de sa famille mais surtout de porter secours à son grand père. Un roman facile à lire qui met
en avant certaines valeurs et qui permet de découvrir les coutumes des paysans éthiopiens. Conseillé pour les 6 et 5 cat A.

Le sujet est rare, original : un garçon éthiopien dont le rêve est de devenir un champion de la course.
L'écriture est limpide, rapide, sans lenteur, on est vite pris par le texte qui se lit très rapidement et avec plaisir mais il manque un petit quelque chose pour être totalement emporté.

On découvre une autre vie et le décalage important que les habitants d'un même pays peuvent vivre.
Le héros est sympathique et on aime suivre son cheminement de pensée, son histoire familiale et son aventure mais l'attachement que l'on a pour le lui reste en surface...

C'est donc une histoire agréable qui a un petit rebondissement qui lui permet d'être relancée.

Si je trouve l'idée intéressante de découvrir la naissance d'un athlète éthiopien, un de ces coureurs d'exception des hauts plateaux qui font la razzia sur les courses de fonds en athlétisme, je ne suis par contre pas complétement séduit par la forme. L'auteur a fait le choix de raconter cette histoire du point de vue du jeune Salomon qui lors de son premier voyage à la capital Addis-Abeba, va vivre en compagnie de son grand-père une aventure qui va le faire grandir brutalement et le révéler à lui-même : il est fait pour courir et devenir un champion. le récit n'est pas inintéressant, mais l'écriture est assez banale, sans trop de relief du coup c'est sur l'histoire que l'on compte pour être captivé. Là encore, les ingrédients sont présents mais quelle déception, la dernière page tournée, de ne pas découvrir que c'est l'histoire romancée d'un authentique champion olympique éthiopien ! Tout le temps de ma lecture je cherchais à savoir quel était ce champion et rien, nada, on n'en sait pas plus, est-ce inspiré d'une histoire vraie, est-ce une pure fiction ? Pour moi, ça perd toute saveur et comme par ailleurs ce n'est pas un roman au style affirmé, je reste déçu.

J'ai emprunté ce livre au hasard à la médiatheque. Ce n'étais pas le genre de livre que je lis habituellement mais j'ai bien aimé le résumé alors je me suis lancé. L'hisoire n'était pas exceptionnelle et je n'ai pas adoré mais c'était divertissant. Les personnages n'étaient pas très attachants mais j'ai bien aimé le grand-père et son passé, j'ai trouvé que c'était touchant quand il en parlait. le petit garçon à un rêve mais je m'attendais à quelque chose de plus poétique et je suis resté en surface. L'ambiance de la ville m'a bien plus, j'ai aimé comment l'auteur décrivait les paysages. J'ai été un peu déçue car je m'attendais à autre chose. En réalité, la quatrième de couverture résume presque l'intégralité du livre et j'ai trouvé ça dommage.

Lien : http://bruissementdefeuilles..

Le garçon qui courait plus vite que ses rêves est une jolie histoire sur le dépassement de soi, bourrée d'espoir et de tendresse qui encourage le lecteur à croire en ses rêves. Lors de sa visite à Addis Abeba, Solomon rencontre Kebede avec qui il se lie d'amitié. Ses convictions vont prendre, au fil des pages, un nouveau tournant : le garçon se ...
Lien : http://www.sariahlit.com/201..