Le jour du dépassement. C’est-à-dire que si on additionne tout le temps de bénévolat depuis la création du projet. Qu’on le valorise en temps de travail et donc en argent. Cette somme dépasse l’argent investi par la mairie.
On en revient toujours à la même chose. Mettre de côté l'égo et l'individualisme au profit du collectif.
Cela ne veut pas dire qu'il faut fermer sa gueule. Mais laisser une place à tout le monde. C'est la clef pour une transmission réussie.
( p 113)
- Hors de question d'aller quémander de la thune auprès des politiques. C'est le meilleur moyen de se faire récupérer.
- Mais tout est politique !, Faire une entrée de spectacle à cinq balles, c'est politique.
- Je parle de politique politicienne.
- Je rappelle qu'à la différence de Dékolérons, la Bigaille paye les artistes. On rend la culture accessible mais on conscientise les gens sur le travail que cela représente.
('page 73)
Apéros qui se transformaient en soirées où tu refais le monde. Au final, la seule chose concrète qui en sort est un mal de crâne le lendemain.
L'axe culturel.
Que la programmation parle à tout le monde. Peu importe qui tu es et ce que tu aimes, il y aura forcément un moment dans l'année qui te concernera.
L'axe associatif.
Tout est collégial. Ça évite les prises de pouvoir et les gens qui se sentent indispensables du genre "l'asso ne tient pas sans moi !". Faux § Personne n'est indispensable. Par contre on a tous quelque chose à apporter. Au bout de trois ans dans le conseil d'administration, tu sors !
(page 35)