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Critique de Lystig


Les fenêtres des immeubles sur la couverture (et sur à l'intérieur) reprennent les lettres du titre.

Mémoires, roman, comme écrit à la main, à l'intérieur.
Un livre à tiroirs. Ca part bien, ça s'accélère puis se ralentit (lors de la la réécriture et des corrections, là, c'est un peu long) et grande accélération à la fin ! Un mélange des personnages : les gentils peuvent être parfois méchants et vice-versa.

J'ai appris que l'endroit préféré de Marcel Proust était son lit, voilà pourquoi Ian Minot dit "un proust" pour un lit. A la fin du livre, nous avons un glossaire de termes choisis où l'on apprend qu'un gatsby est un blazer, comme ceux portés par Jay Gatsby, le personnage de F. Scott Fitzgerald ou un poppins, un parapluie, comme celui de Mary Poppins et ainsi de suite. Et après, un autre petit glossaire ajouté à l'édition française expliquant quelques titres des chapitres, autrement incompréhensibles au lecteur francophone ; nombre d'entre eux sont empruntés à des titres de nouvelles, livres, poésies ou autres chansons ayant provoqué des scandales pour plagiat ou de faux mémoires, des fausses identités, etc. (j'ai bien aimé cette partie, apprenant beaucoup de choses !).

Un petite tartine sur le monde de l'édition - un monde de requins - et sur quelques écrivains (vrais ? faux ?), et une histoire qui s'imbrique dans une autre histoire (ou l'inverse ?) et nous voilà embarqués : jusqu'où un écrivain est-il capable d'aller ?
Lien : http://loiseaulyre.canalblog..
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