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Critique de lecassin
On avait laissé dans « le têtard », Jacques Lanzmann - car il s'agit bien de lui - âgé d'une quinzaine d'années, résistant, et obsédé par l'idée de risquer de mourir sans avoir fait l'amour…
Jacques Lanzmann, fils de juifs ashkénazes, créateur le la revue « Lui », parolier des plus grands succès de Jacques Dutronc et frère de Claude Lanzmann le réalisateur du film « Shoah »...
On le retrouve ici, en Jacquiot dans la France libérée, encore et toujours taraudé par la même obsession sexuelle...
Dix ans après « le têtard » on retrouve toute la truculence de Jacques Lanzmann, même si, à mon goût, la mayonnaise qui avait si bien pris avec moi en 1976, manque de consistance en 1986…
Jacques Lanzmann, fils de juifs ashkénazes, créateur le la revue « Lui », parolier des plus grands succès de Jacques Dutronc et frère de Claude Lanzmann le réalisateur du film « Shoah »...
On le retrouve ici, en Jacquiot dans la France libérée, encore et toujours taraudé par la même obsession sexuelle...
Dix ans après « le têtard » on retrouve toute la truculence de Jacques Lanzmann, même si, à mon goût, la mayonnaise qui avait si bien pris avec moi en 1976, manque de consistance en 1986…
