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Critique de Deej1223


Nom de code: Cromwell
Entre deux bains chauds et sous le regard espiègle de Nelson, son chat noir adoré, c'est aussitôt élevé au rang de Premier ministre que Churchill devint symbole de résistance du monde libre mais ébranlé, Londres se voyant affligée de remontrance, de coups de semonce, Göring précédé du dauphin Galland voulant la voir ployer l'échine avant qu'Hitler se la fasse Barbarossa. Et à travers les brumes et les ruines de Plymouth, de Coventry, voilà que Rudolf Hess s'y pointa le bout du nez, s'éjectant de la ligne partisane, souhaitant qu'en atterrisse un accord de paix à l'insu des bonzes. « La splendeur et l'infamie » d'Erik Larson, ouvrage historique basé sur maintes sources et sur tout autant d'écrits, mais qui se lit comme un roman, mais qui relate les hauts et les affres de Churchill après avoir été mis au pouvoir, où l'Angleterre, croulant sous les bombes nazies, sert de dernier bastion avant l'anéantissement total d'une humanité éplorée, résistant à elle seule jusqu'à l'entrée en scène des USA, Pearl Harbor venant d'être à son tour prise pour cible par les forces de l'Axe.
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