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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
"Les passagers du siècle", signé Viktor LAZLO et édité chez Grasset (2018) est un roman qui porte bien son nom. On y retrouve Yamissi, jeune princesse arrachée à sa famille et vendue comme esclave. Originaire du Centrafrique, elle sera achetée à Cuba par un marchand d'esclave juif d'origine polonaise. Nous sommes fin du 19 siècle et Viktor LAZLO décrit, d'une belle plume, le désarroi de ceux qui n'ont même plus de nom, qui n'ont que des chaînes, des coups, des maîtres. Plus d'identité mais encore, pourtant, assez de dignité pour endurer l'indicible. de ce couple esclave-maître, fondé sur l'insécurité, le manque de confiance, les différences culturelles et, pourquoi pas, un fond d'amour aussi improbable que réel, naîtra Josefa qui rencontrera, près d'un demi-siècle plus tard, un anarchiste juif, Samuel Wotcheck. Ce dernier aura passé sa vie à se chercher, à tenter de fuir son existence tout en voulant préserver son amour et se rapprocher d'une famille abandonnée. Dans la tourmente d'un continent qui se déchire sous la montée infâme du nazisme et de l'épuration dite ethnique qui massacrera juifs et roms, Viktor LAZLO nous réaffirme la difficulté de vivre debout, de rester digne, de trouver et garder sa voie dans un temps de compromissions, d'alliances, de ‘désalliances', de liens familiaux déchirés au nom d'idéaux mal définis, peu tenus et mouvants.

Les héros de ce récit ne sont donc que des passagers du siècle. Oh, bien sûr, ils ont quelques postures à tenir qui peuvent leur être propres... mais, en fait, ils ne font que traverser la tourmente d'un siècle sans aucunement pouvoir prétendre être pilote. Réduits au statut de passagers, ils ne sont occupés qu'à survivre.

Et puis, curieux personnage, il y a Fleur, centenaire en 2010 qui confie sa vie, ses certitudes, ses tentatives de remords et de regrets à un journal personnel. Son caractère odieux, suffisant, égoïste nous l'a fait peu apprécier. le lecteur que j'ai été a été prompt, plus d'une fois, à la condamner et à la rejeter avec mépris. Et pourtant, dans ce roman qui lie l'esclavagisme dont nous n'avons pas à être trop fiers et la Shoah, laquelle devrait interroger l'Europe actuelle quant à la montée des populismes, de l'individualisme forcené et du racisme ambiant qui reste bien présent, ce personnage de Fleur n'est-il pas, tout simplement, le reflet de la déshumanisation qui nous guette quotidiennement ? Fleur n'a pas voulu entendre la vie de ses parents, leurs combats pour la dignité. Elle a refusé d'écouter ce que sa descendance lui demandait. Elle n'a pas voulu reconnaître qu'elle avait une place à prendre dans la chaîne humaine qui fonde et renforce nos vies. Ses fuites, ses replis, ses préoccupations narcissiques ne sont-elles pas le triste reflet de ce que nous risquons d'être si nous ne réalisons pas qu'en un siècle, la dignité humaine a été bafouée par des courants négationnistes de la vie, tels l'esclavagisme et le nazisme ? Sommes-nous aptes à réaliser vers quoi notre 21e siècle risque de nous porter ? Fleur, tu es détestable... mais tu interpelles !

Dans ce roman « Les passagers du siècle », la plume de Viktor LAZLO est agréable à lire. Son propos est manifestement largement documenté mais, le choix de voyager sans arrêt dans le temps et dans des histoires de familles différentes ne facilite pas la compréhension générale de l'histoire … C'est un peu dommage !
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Les passagers du siècle de Viktor Lazlo m'a été envoyé par net galley et les éditions Grasset.
J'ai découvert avec plaisir la jolie plume de Viktor Lazlo. Je la connaissais chanteuse, j'ignorais qu'elle écrivait avec une telle poésie.
Fleur est une vieille dame, arrivée au seuil de sa vie elle décide de raconter son histoire.
Nous voyageons avec elle, nous traversons trois continents et découvrons des personnages forts, touchants. de la traite négrière à la Shoah, ce roman est vraiment riche en émotions et aborde des sujets forts.
Même si j'ai apprécié l'écriture, j'avoue m'être parfois un peu perdue entre les époques et les personnages.
Je ne regrette pas ma lecture et j'espère relire l'auteure, mais ce n'est pas un coup de coeur, d'où le trois étoiles et demie.
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Un livre engagé, combatif qui relate la vie de trois générations qui ont du subir la traite négrière, les pogroms, les humiliations du métissage et tous les revers de fortune pour finir dans les ghettos et les chambres à gaz. Roman qui ne laisse pas indifférent car on revisite beaucoup de pages d'histoire, on s'attache aux personnages de femmes mais la barque est un peu trop chargée et on pourrait sombrer.
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C'est dans le cadre de Masse critique que j'ai lu Les passagers du siècle de Viktor Lazlo.
A la fermeture de ce livre, j'ai un réel sentiments d'insatisfaction, l'impression qu'il manquait peu de chose pour faire de cette histoire de famille emportée sur les courants de l'histoire, un livre vraiment marquant.
Pourtant l'écriture est belle, soignée. La langue parfaitement maitrisée. Mais on y perd en spontanéités et les personnages en sont moins attachant. On observe de haut.
La double narration, m'a ici, aussi perturbée. La partie racontée par le narrateur omniscient est réellement bien construite, les chapitres s'enchainent bien, l'histoire se construit jusqu'à l'apogée de la tragédie familiale. Et, intercalé entre, il y a une deuxième histoire, la suite de la saga, écrite sous forme de journal, qui mériterait sans doute un autre livre, mais qui ici n'a pas vraiment d'intérêt.
Par contre la fin est magistrale et c'est bien ce qui m'apporte tant de regrets.
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Vous le savez, j'aime découvrir des plumes de mon plat pays car en Belgique cela foisonne, des auteurs on en a beaucoup. C'est le quatrième roman de Viktor Lazlo, celui avec lequel je découvre sa plume. J'ai fait un très beau voyage en sa compagnie.

Le roman s'articule autour de trois personnages centraux.


Fleur Desvérieux Gaudrèche va bientôt avoir cent ans. Elle a vécu sa vie à Fort de France en Martinique. Elle décide d'écrire un journal pour transmettre à son fils Pipo, espère -t-elle, l'histoire de sa famille.

Une confession épistolaire qui revient de manière récurrente dans le roman. C'est peut-être un seul bémol car ce personnage est celui qui m'a le moins convaincu.

Entre ces lettres, l'auteure utilise une double narration par le biais des ancêtres de Fleur ; Yamissi et Ephraïm, et Josefa (sa mère) et Samuel.

Yamissi dont le destin au départ m'a un peu fait penser à "Bakhita". Elle est enlevée dans son village, a emprunté le dernier bateau négrier "Le Daomé" en 1867. Elle arrive à Santiago de Cuba et est achetée par Ephraïm Sodorowski, un juif polonais exilé - marchand d'esclaves.

Quarante ans plus tard Josefa rencontrera à Dantzig, Samuel Wotchek, un anarchiste juif. Ils quitteront Dantzig pour s'installer en Martinique.

Destins croisés de deux familles qui portent en elle L Histoire, celle de l'esclavagisme, du poids à porter sa couleur au début du siècle, du racisme, du regard et rapport de la société, mais aussi celle de la révolution polonaise, de la montée du nazisme, de l'occupation allemande, de la Shoah.

L'errance de deux peuples, mais aussi la séparation des familles, le besoin de se replonger dans ses racines et d'en supporter le poids.

On voyage d'une famille à l'autre et dans le temps, l'arbre généalogique en début de volume est bien utile et permet de se repérer.

L'écriture est soignée. J'ai passé un bon moment de lecture. Ce fut une découverte très instructive.

Ma note : 7.5/10
Lien : https://nathavh49.blogspot.b..
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Les passagers du siècle relate une histoire forte, émouvante, prenante qui permet au lecteur de parcourir une époque , au côté d'une famille exceptionnelle. Ainsi trois personnages, se font l'écho des horreurs d'un siècle où traite négrière, montée du nazisme et exterminations des juifs se succèdent.

Le lecteur rencontre Yamissi, jeune centrafricaine, vendue comme esclave et achetée par Ephraïm un juif installé à Cuba, déjà en avance sur son siècle. Cette femme, battante et volontaire, qui passe de malheurs en petit bonheurs présente un courage et une détermination à toute épreuve.

On découvre ensuite Samuel Wotchek, jeune juif polonais, révolutionnaire, contraint à la fuite, mais qui passera sa vie à la recherche du pardon de sa famille, et en quête de rédemption. 

Enfin la parole est laissée à Fleur, dernière branche de cette famille, fille de Samuel, qui est le personnage que j'ai le moins appréciée, car certaines réactions et commentaires m'ont déplu.

Vous l'aurez compris il s'agit donc d'une grande histoire de famille, marquée par les tragédies, l'amour, la lutte, la mort parfois. Mais le tout bien écrit et mené, permet de porter un regard intéressant sur des événements terribles, qui ont marqué les 19éme et 20éme siècle. J'ai beaucoup aimé le récit de Yamissi ainsi que celui de Samuel, mais je regrette quelques longueurs dans la correspondance épistolaire de Fleur, on n'a parfois même envie de sauter quelques pages tant ses atermoiements se multiplient.

Les liens familiaux et l'héritage sont la toile de fond de ce récit, où se mélange devoir de mémoire, amour, revanche, pardon, tristesse et joie .

Je vous conseille donc de faire une nouvelle traversée aux côtés de ces passagers du siècle .


Lien : http://livresforfun.overblog..
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2010, Fleur, cent ans, rédige un journal qu'elle espère léguer à son fils. Elle y raconte sa vie et celle de ses parents Josefa et Samuel. Parallèlement, se dessinent les destins de Yamissi, jeune africaine arrachée à sa famille et réduite en esclavage – rappelant le récit des heures sombres vécues par Bakhita (Bakhita – V.Olmi – Ed. Albin Michel) au milieu du XIVème siècle -, de Josefa sa fille, de Samuel exilé de Pologne et réfugié à la Martinique, des années 1900 à la seconde guerre mondiale. Des destins tragiques intimement liés, malmenés par l'histoire.

V. Lazlo réussit le pari fort difficile de jongler entre les différents personnages au cours de différentes époques et retrace avec beaucoup de sérieux et de précision les périodes troubles de l'histoire. Elle y aborde entre autre l'esclavagisme, le racisme, la révolution polonaise, la montée du nazisme, l'occupation allemande, la shoah. L'écriture est fluide et l'ensemble, d'une grande richesse, se suit aisément.

Une lecture qui mérite une réelle attention.
Lien : http://aufildeslivresblogetc..
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Je commence d'ors et déjà par affirmer haut et fort que Viktor Lazlo est une femme à la plume enchanteresse ! Oui, enchanteresse, elle parvient, avec sa simplicité, et sa finesse a faire de ce livre historique un roman bonbon que j'ai dévorer en 2 jours.

Un contexte pas facile, reprennant toute un pan de l'histoire, qu'elle retranscrit à merveille de manière a ce que chaque page, chaque ligne, chaque mot, soit compris d'une seule traite. Je me rendais compte, lorsque j'essayais de faire ma chronique à l'oral, qu'il m'ait particulièrement ardu de résumer cette si merveilleuse histoire, bien qu'archi complexe.

Ici, nous allons suivre deux familles, sur deux continents différents, qui sont lié par différents points. Nous suivons une femme victime d'esclavagisme, qui va rencontrer un juif qui le choisira comme esclave. S'ensuit un parcours familiale hors du commun. On évoluera au fil des années, allant jusqu'à la seconde guerre mondiale.

Je souhaite vraiment que la majorité des lectures de tout genre lisent ce roman. C'est nécessaire, pour L Histoire, mais aussi pour la plume. L'auteur mérite d'être connu et j'ai hâte de ses prochaines parutions.
Il doit y avoir des défauts, mais sur le coup, je n'en trouve pas, il me faudra un certain temps je pense, afin de me poser et de digérer ce contenu littéraire.

En attendant, a LIRE !
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Mon avis:

Viktor Lazlo est une femme très connue puisqu'elle est à la fois actrice, chanteuse et auteure, mais chose étrange moi je n'en avais jamais entendu parler. Cependant son dernier roman paru en ce début d'année chez Grasset m'a interpellé parce qu'il réunit deux thèmes que j'aime retrouver en littérature la ségrégation et l'antisémitisme. Je remercie donc la maison d'Edition pour l'envoi de ce titre qui m'a enfin permis de la découvrir.

C'est un roman on le comprend tout de suite qu'on ne lit pas d'une traite, il faut prendre son temps pour bien comprendre l'histoire puisque l'on va suivre deux familles sur deux continents différents à des époques différentes, mais qui vont cependant finir par être liées. Je remercie d'ailleurs l'auteure d'avoir pensé à insérer un arbre généalogique au début du livre qui m'a beaucoup aidé, car il y a énormément de retours en arrière et il est donc assez difficile au début de suivre le fil de l'histoire. Ce sont les grands événements de la fin du XIXème siècle jusqu'au milieu du XXème siècle en Pologne, en Centre-Afrique et à Cuba que l'auteure retrace dans son roman.

On suit tout d'abord en 1880 Ephraïm un polonais qui a quitté son pays quelques années plus tôt après un attentat auquel il avait participé lors de l'insurrection polonaise, et qui suite à cela est venu se réfugier à Cuba, mais également Yamissi une africaine qui est enlevée et vendue comme esclave dans cette même ville. Puis, quelques années plus tard l'auteure nous plonge en 1906 où l'on rencontre le jeune Samuel un polonais qui fuit son pays en plein conflit indépendantiste, et qui sur sa route va faire la rencontre de Josefa la fille de Yamissi et Ephraïm qui deviendra sa femme. Tous deux vont par la suite finir par s'installer en Martinique où ils vont avoir une petite fille Fleur. C'est Fleur qui en 2010 à l'aube de ses 100 ans nous raconte l'histoire de ses ancêtres à travers ses mémoires qu'elle écrit avant de mourir, pour pouvoir transmettre à sa descendance le récit de ce passé tumultueux mais très riche.

Je ne doutais pas que ce roman allait beaucoup me plaire et me toucher parce qu'il traite de sujets très importants et très graves de l'Histoire dont on ne parlera jamais assez à mon sens. Je suis toujours ravie de voir que certains auteurs choisissent d'en faire les sujets principaux de leur livre parce qu'il me semble nécessaire de continuer à en parler, afin de toujours informer et surtout pour ne pas oublier. En ce sens je n'ai pas été déçue concernant les passages traitant de ces deux sujets. J'ai dévoré ceux retraçant la vie de Yamissi en tant qu'esclave, on assiste impuissant à la séparation déchirante entre la jeune femme et sa famille, à la dure traversée de l'océan Atlantique pour rejoindre l'Amérique du Sud dans un bateau de fortune, à la faim et à la soif dont ils souffrent jour et nuit, aux viols et aux châtiments corporels qui leur sont infligés, et enfin à la honte qu'ils ressentent en étant traités comme du bétail et qui finissent par vous enlever tout ce qui fait de vous un être humain.

Ces passages là m'ont bouleversé par leur dureté, comme cela a été le cas concernant ceux de la famille de Samuel en Pologne durant la seconde guerre mondiale, des années pendant lesquelles ils vont vivre l'horreur, l'enfer du ghetto juif polonais puis des camps. J'ai lu énormément de romans traitant du sort des juifs à cette époque et je suis toujours autant émue et bouleversée par tout ce qu'ont pu subir ces pauvres gens. Ce sont ces passages là qui font toute la beauté et la force de ce roman, même si je l'avoue d'autres m'ont moins plu, m'ont moins intéressé, voir même qui m'ont semblé parfois assez longs et ennuyeux comme cela a été le cas concernant les conversations politiques entre certains personnages secondaires par exemple.

De même, la force de ce roman réside également dans ses personnages charismatiques tels que Ephraïm, Yamissi, ou encore Samuel. Ils ont vécu à des époques différentes mais qui n'en sont pas moins aussi complexes et très difficiles. Cependant malgré le contexte historique dans lequel ils vivent, ce sont des personnages que j'ai trouvé extrêmement forts et courageux, qui malgré ce qu'ils traversent, malgré leurs conditions de vie ne baissent pas les bras et arrivent à puiser au fond d'eux même la force de voir au-delà de ce qu'ils sont en train de vivre, ils arrivent à croire et à espérer un monde meilleur, un futur qui semble aujourd'hui impossible. Je suis toujours admirative de voir avec quel courage ils arrivent à continuer à vivre après un tel traumatisme.

Si j'ai donc apprécié la plupart des personnages, je n'ai cependant pas adhéré par contre à certaines de leurs décisions qui m'ont paru en total contradiction avec leurs principes, et qui ainsi ne m'ont pas permis de les comprendre réellement. Je n'ai pas compris par exemple "la double personnalité " d'Ephraïm qui d'un côté est un esclavagiste, mais qui épouse ensuite Yamissi qui travaillait pour lui, je n'ai pas compris non plus le choix de Samuel qui a finalement oublié sa famille pendant des années alors qu'il avait quitté son pays afin de trouver une vie meilleure pour lui et les siens, et enfin je n'ai pas compris non plus le choix de Fleur qui on l'apprend au fil des pages a abandonné un de ses enfants parce qu'il était noir, alors même que sa grand-mère des années plus tôt a connu l'enfer à cause de sa couleur de peau.

Les passagers du siècle n'est donc pas un coup de coeur pour ces raisons là, mais il reste quand même un très beau roman qui traite des différences sociales et raciales et des combats menés par certains parfois au péril de leur vie pour avoir plus de droits, pour l'indépendance de leur pays, ou pour être libres tout simplement.

Pour conclure:
Un roman complexe de part la multitude de personnages et d'époques qui s'entrecroisent, mais qui retrace avec justesse trois événements majeurs de la fin du XIXème siècle jusqu'au milieu du XXème comme l'esclavagisme en Centre-Afrique et à Cuba , mais aussi les mouvements indépendantistes et l'antisémitisme en Pologne. Malgré quelques longueurs et certains choix incompréhensibles à mon sens de certains personnages, Les passagers du siècle est un roman marquant qui touche, bouleverse, qui est à lire tout simplement.

Ma note: 17/20.
Lien : http://autantenemportelesliv..
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