L'exposition « culte » de 2004 à Meisenthal. Elle présente les innovations que Gallé a « mises au point » à Meisenthal de 1867 à 1894. Aspect majeur, puisque Gallé passait énormément de temps dans son laboratoire à chercher à innover et a fini par en mourir. D'autres ont exécuté les chefs d'oeuvre. Mais l'essentiel, bien entendu, ce sont les images des collections de Meisenthal, qui sont magnifiques. J'ajoute que j'admire l'artiste sans réserve.
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Sur le plan scientifique, en tant que naturaliste, Emile Gallé collabore régulièrement avec Maximilian Schulze, botaniste allemand, auteur de plusieurs publications et d’un ouvrage sur les orchidées allemandes : « Die Orchidaceen Deutschlands » (1892), qu’il possède personnellement. Il lui adresse régulièrement des échantillons de ses récoltes d’orchidées lorraines pour avis ou détermination. Emile Gallé possède également dans sa bibliothèque le « Traité de Zoologie » (1878) du savant allemand Carl Claus.