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Critique de patriciabiron
Bonjour et bonne année 2024. J'ai commencé l'année avec le dernier roman d'une autrice indépendante que j'ai découverte récemment avec son roman « Comme un murmure » .
« Une mémoire abîmée » est l'histoire de Perrine, une autrice à succès victime de la « page blanche » et plongée dans une déprime dont elle n'arrive pas à se sortir. Elle finit par écouter les conseils de son éditrice et amie, et s'éloigne de la vie stressante de la capitale pour se réfugier avec son mari Guillaume sur Belle-île-en-mer.
Nous sommes en Novembre, et cette île très prisée pendant la période estivale, semble vide de vie et bien trop silencieuse pour notre parisienne habituée au bruit de la ville. Et ce qui devait être un break salvateur, semble peu à peu virer au cauchemar. Perrine est sur le qui vive, se sent oppressée et imagine le danger la guetter à chacune de ses promenades. Et malgré les attentions constantes de son mari, ce n'est pas dans cette vieille maison privée de confort et avec une tempête qui s'abat sur l'île et la coupe du monde que les choses risquent de s'arranger.
Soazig Leblanc nous entraime dans la spirale infernale qui va aspirer Perrine. Une Perrine qui flirte avec le chaud et le froid et sur laquelle on s'interroge en permanence. Car il y a la Perrine acculée qui a l'impression que des choses se trament dans son dos, que la bienveillance de son mari est une façade, et qui s'inquiète de ses trous noirs inexpliqués et de l'enchaînement d'événements bizarres…. Mais il y a aussi la Perrine qui se révèle être aussi une femme peu reconnaissante des attentions que lui porte son mari et assez égoïste dans son couple.
Une narration particulièrement soignée qui crée un climat oppressant à souhait grâce a un environnement inquiétant et des personnages intrigants.
Perrine est-elle une victime ou une femme trop axée sur sa personne ? On le découvre avec émotion dans un dénouement surprenant qui explique bien des choses.
« Une mémoire abîmée » est l'histoire de Perrine, une autrice à succès victime de la « page blanche » et plongée dans une déprime dont elle n'arrive pas à se sortir. Elle finit par écouter les conseils de son éditrice et amie, et s'éloigne de la vie stressante de la capitale pour se réfugier avec son mari Guillaume sur Belle-île-en-mer.
Nous sommes en Novembre, et cette île très prisée pendant la période estivale, semble vide de vie et bien trop silencieuse pour notre parisienne habituée au bruit de la ville. Et ce qui devait être un break salvateur, semble peu à peu virer au cauchemar. Perrine est sur le qui vive, se sent oppressée et imagine le danger la guetter à chacune de ses promenades. Et malgré les attentions constantes de son mari, ce n'est pas dans cette vieille maison privée de confort et avec une tempête qui s'abat sur l'île et la coupe du monde que les choses risquent de s'arranger.
Soazig Leblanc nous entraime dans la spirale infernale qui va aspirer Perrine. Une Perrine qui flirte avec le chaud et le froid et sur laquelle on s'interroge en permanence. Car il y a la Perrine acculée qui a l'impression que des choses se trament dans son dos, que la bienveillance de son mari est une façade, et qui s'inquiète de ses trous noirs inexpliqués et de l'enchaînement d'événements bizarres…. Mais il y a aussi la Perrine qui se révèle être aussi une femme peu reconnaissante des attentions que lui porte son mari et assez égoïste dans son couple.
Une narration particulièrement soignée qui crée un climat oppressant à souhait grâce a un environnement inquiétant et des personnages intrigants.
Perrine est-elle une victime ou une femme trop axée sur sa personne ? On le découvre avec émotion dans un dénouement surprenant qui explique bien des choses.
