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Critique de Caalfein
Autant le dire tout de suite, ce roman ne m'a pas plu et ce malgré une bonne intrigue. Sur le papier, l'idée était bonne. Un jeune pompier de 25 ans gravement blessé après une intervention qui se retrouve à l'hôpital. Une infirmière de 35 ans qui vit avec un homme toxique, manipulateur et plus encore. Une adolescente de 14 ans, soeur du pompier, perturbée par un passé douloureux.
Il y en a des choses à raconter et des émotions à faire passer avec cette panoplie de personnages et un tel contexte. Oui. Sauf que j'ai trouvé l'écriture d'Agnès Ledig sans relief, comme un récit fait d'une voix monocorde. Je ne me suis donc pas attachée aux personnages et n'ai ressentie des émotions qu'à de rares occasions. Deux fois pour tout dire.
J'ai trouvé que le récit était lent et que paradoxalement, certains évènements étaient traités de façon trop rapide. Lenteur par exemple dans la scène de la montée des marches de la cathédrale et scène expéditive de l'annonce de Vanessa à son frère Roméo d'un fait important la concernant qui aurait dû, à mon sens, conduire à plus de profondeur.
Beaucoup de pathos, de pensées et tergiversations des deux personnages principaux qui tournent en boucles et ont un côté répétitif.
Et puis Roméo et Juliette ! Non là c'est too much et cliché.
Quant à Vanessa, son langage ressemble trop fortement à celui de son frère et de Juliette. Elle n'a pourtant que 14 ans et à peine 18 à la fin du roman !
Les dialogues. Peu crédibles ou sonnant faux.
Je n'ai pas compris comment Roméo pouvait être tombé amoureux à ce point de Juliette. Je n'ai pas ressenti sa douleur alors qu'il était gravement blessé.
La situation de Roméo et ses souffrances auraient dû me prendre aux tripes. Idem pour la vie que mène Juliette. Idem pour la situation de Vanessa. Mais non.
J'ai lu jusqu'au bout par respect pour le travail de l'autrice mais je me suis ennuyée.
Je ne réitèrerai pas l'expérience avec Agnès Ledig. Son écriture et son style ne me touchent pas. Ses romans ne sont, de toute évidence, pas faits pour moi.
Il y en a des choses à raconter et des émotions à faire passer avec cette panoplie de personnages et un tel contexte. Oui. Sauf que j'ai trouvé l'écriture d'Agnès Ledig sans relief, comme un récit fait d'une voix monocorde. Je ne me suis donc pas attachée aux personnages et n'ai ressentie des émotions qu'à de rares occasions. Deux fois pour tout dire.
J'ai trouvé que le récit était lent et que paradoxalement, certains évènements étaient traités de façon trop rapide. Lenteur par exemple dans la scène de la montée des marches de la cathédrale et scène expéditive de l'annonce de Vanessa à son frère Roméo d'un fait important la concernant qui aurait dû, à mon sens, conduire à plus de profondeur.
Beaucoup de pathos, de pensées et tergiversations des deux personnages principaux qui tournent en boucles et ont un côté répétitif.
Et puis Roméo et Juliette ! Non là c'est too much et cliché.
Quant à Vanessa, son langage ressemble trop fortement à celui de son frère et de Juliette. Elle n'a pourtant que 14 ans et à peine 18 à la fin du roman !
Les dialogues. Peu crédibles ou sonnant faux.
Je n'ai pas compris comment Roméo pouvait être tombé amoureux à ce point de Juliette. Je n'ai pas ressenti sa douleur alors qu'il était gravement blessé.
La situation de Roméo et ses souffrances auraient dû me prendre aux tripes. Idem pour la vie que mène Juliette. Idem pour la situation de Vanessa. Mais non.
J'ai lu jusqu'au bout par respect pour le travail de l'autrice mais je me suis ennuyée.
Je ne réitèrerai pas l'expérience avec Agnès Ledig. Son écriture et son style ne me touchent pas. Ses romans ne sont, de toute évidence, pas faits pour moi.
