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Citations sur Le clan Wilde, tome 1 : Weston (8)

Je souris tout seul, content d’avoir retiré son enveloppe protectrice pour révéler l’homme sensuel et vulnérable en dessous. Celui qui n’était fait que pour moi, comme je l’espérais dans le secret de mon cœur.
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Je fermai les yeux et priai le Dieu des erections pour qu’il calme mon sexe au garde à vous.
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Arrête de vivre ta vie en fonction de ce que tu devrais faire. Tu as le droit de te montrer un peu égoïste parfois, West. Tu as le droit d'être heureux aussi. Tout le monde mérite d'être aimé.
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« je sentis Nico se plaquer contre mon dos, les bras autour de ma taille. Son nez effleura ma nuque, et je fermai les yeux en soupirant. J’attrapai sa main et la portai à ma bouche. J’embrassai sa paume, la posai contre ma joue pendant le plus bref des instants. Puis je détachai ses bras et m’empressai de sortir dans la nuit. »
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Je me mis à trembler, sauf que je refusais de perdre mes moyens devant le genre d'hommes qui ignorait sans doute ce que signifiait de perdre ses moyens.
_ C'est très présomptueux de ta part d'aller chez moi récupérer Pippa, non ? demandai-je sur la défensive.
_ Oui, je m'en rends compte. Je vais être honnête avec toi : je l'ai fait par pur égoïsme, parce que je ne voulais pas te réveiller. Je savais que tu avais besoin de sommeil, mais ce n'est pas pour cette raison. Je voulais que tu restes blotti dans mon lit à attendre mon retour. Je voulais... Je veux que tu sois toujours dans mes bras demain matin, à mon réveil. Je ne suis pas prêt à te laisser partir, Nico.
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Aimais-je Pippa ? C'était impossible. Elle n'étais qu'un petit bout de pas grand-chose. Sept kilo de lait et de caca, avec le don de me faire saigner les oreilles en un instant. De l'amour ? Sûrement pas.
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Chapitre 2 :

West

«… Hon me serra la main puis s’approcha de Goldie pour caresser Pippa.

— Weston Wilde, Goldie Banks, je vous présente Nico Salerno, déclara-t-il d’un ton absent sans cesser de cajoler le bébé.

Mon ventre se noua, mes oreilles bourdonnèrent, et toutes les pièces du puzzle s’alignèrent dans ma tête.

— Le frère d’Adriana, poursuivit Hon. Il est là pour la garde de Pippa.

Je m’en décrochai la mâchoire et dévisageai l’autre homme. Il semblait n’avoir même pas vingt-cinq ans, et il était si raide qu’une brise un peu forte pouvait le faire tomber. Il était le choix le plus improbable en matière de père pour Pippa. C’était donc lui le frère d’Adriana, disparu depuis si longtemps ? Ce punk bon à rien qui, meurtri dans ses précieux petits sentiments, avait pris la fuite enfant ?

— Mon cul, oui, grognai-je en récupérant Pippa des bras de Goldie pour la serrer contre moi.

Hon écarquilla les yeux, stupéfait, et le type aux cheveux violets – Nico – l’imita. Ma réaction les avait laissés, ainsi que Goldie, sans voix. En général, j’étais un citoyen modèle, pourvu de bonnes manières, un médecin amical. Pas cette fois-ci, cependant. Pas le jour où j’affrontais l’enterrement de mon amie et la prise de conscience horrible que Pippa devrait grandir sans elle.

Il était absolument hors de question que je laisse cet inconnu prendre la fille d’Adriana. S’il la voulait, il devrait me passer sur le corps.

Et ce petit emo n’avait aucune idée de ce dont j’étais capable quand j’avais le cœur brisé... »
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Chapitre 3 :
Nico
«… Ah. Voilà. Un coup d’un soir. Ça, ça correspondait davantage à la Adriana que je connaissais.
— Je vois.
— Qu’est-ce que tu veux dire ? aboya-t-il.
J’écarquillai les yeux face à son attitude défensive.
— Simplement, que je comprends pourquoi c’est moi qui ai obtenu la garde.
— Tu ne la gardes pas.
C’était un constat, même pas une question, et il me hérissa les poils.
— Je ferai ce que je voudrai, connard, rétorquai-je sèchement. Donne-la-moi.
Le temps des mondanités était terminé, si tant est qu’il y en avait eu. Hors de question de laisser un Docteur Parfait moralisateur me dire ce que je devais faire ou non avec l’enfant de ma sœur.
Il plissa les yeux de colère et rapprocha le bébé de son torse.
— Je ne te la donnerai que quand il gèlera en enfer, ducon.
Le grondement bas et tonitruant de sa voix me donna la chair de poule… »
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