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Critique de Taraxacum


Ah, l'envoûtant, l'inénarrable parfum de la dame en noir. Ce parfum qui entraîne le dévouement admirable de Robert Darzac, la folie malsaine de Larsan, et permet à l'enfant de retrouver sa mère, malgré des années de séparation...
J'avoue, j'ai un petit faible pour le Parfum de la dame en noir, de tous les romans de Gaston Leroux, pour cette scène terrible de Rouletabille prêt à se jeter par la fenêtre au cri de Mathilde, tant il en oublie le vide séparant les deux fenêtres dans sa terreur, pour le cri qu'il jette, pour l'affrontement terrible Rouletabille - Larsan. Et dire qu'on ne saura jamais si Larsan savait qui était réellement ce petit reporter !
Si le mystère de la chambre jaune est un problème de corps manquant, à savoir comment le criminel est sorti, ici c'est un problème de corps en trop: comment diable ce corps en trop est il entré dans un tour dont la seule issue était gardé?
Malgré mon amour de ce roman, que je viens de relire pour quelque chose comme la quatrième fois, et bien que je lui ai collé cinq étoiles, j'ai bien conscience qu'il est plus faible du point de vue de la résolution du mystère que son jumeau. Pas sur le mécanisme en lui-même, que sur ce qu'il sous-entend. Et bien que le livre ait été écrit il y a plus d'un siècle, allez, je mets ça sous secret:


Après cette relecture fort plaisante, je me dis que je ne devrais pas m'arrêter en si bon chemin et qu'il est temps de relire toute la série!

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